Les médiums

 » Ils auront des yeux pour voir, mais ne verront pas,  des oreilles pour entendre, mais n’entendront pas… »

Les médiums sont des personnes qui ont la faculté de voir les Esprits et/ou de les entendre et/ou de percevoir leurs présences et/ou leurs pensées,  et parfois ce qu’il se passe sur d’autres plans que le nôtre.

C’est par de tels médiums que, tout au long de l’Histoire humaine, sont arrivées les communications qui ont constitué l’Enseignement spirite, et n’en doutez pas, une partie des religions. Selon les époques de l’Histoire, et selon les pays, ces médiums furent appelés : messagers, devins,  prophètes, vestales, sibylles, pythies, pythonisses …

Cette page ne prétend pas prouver à elle seule ce que vous allez y découvrir. Mais les suites qui en découlent éclairent et relient entre eux des faits classés un peu rapidement au rayon légendes et superstitions. Chaque article de la rubrique « Phénomènes paranormaux » de la page d’accueil est un élément du puzzle

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A quoi ressemble un médium ?             

Les formes de médiumnité                    

De multiples intensités                         

Les procédés                                       

Quelques médiums                             


A quoi ressemble un médium ?

A vous, à moi, à tout le monde, et parfois à cette femme, bien loin de ce que nous vendent certaines émissions à sensations.

La médiumnité vient d’une faculté spécifique de l’Esprit. Physiquement, rien ne distingue un médium du reste du monde. Si une personne ne vous dit pas qu’elle est médium, il y a bien peu de chance pour que vous le deviniez par sa simple apparence !


Les formes  de médiumnité

Les formes de médiumnité sont multiples :

Certains médiums voient les Esprits, c’est-à-dire les personnes décédées, peuvent les entendre et leur parler, au point qu’il s’établit de véritables dialogues entre eux. D’autres les perçoivent seulement, et ont conscience de leurs présences autour d’eux.
La médiumnité va donc se traduire par des paroles, des écrits, des dessins, des ressentis. Parfois aussi par certaines formes de malaises en la présence de ces Esprits.

Les  Esprits peuvent aussi se communiquer auprès des médiums, et en vérité, nombreux sont ceux qui cherchent à le faire. Les médiums sont pour les Esprits des phares dans la nuit, et ceux qui ont des messages à faire passer à leurs familles ou à leurs proches « vivants », peuvent rechercher le « bon » médium pendant des années.


De multiples intensités

Nous sommes tous médiums, mais à des valeurs très faibles pour la plupart d’entre nous.  Cependant, nul ne peut dire qu’il n’a pas eu au moins une intuition, une prémonition, sans compter la petite voix qui parle dans notre tête, et qui n’est autre que notre Ange Gardien.

Par contre, il n’est pas donné à chacun d’entre nous de pouvoir voir ou entendre clairement les Esprits.

Mes recherches montrent que la médiumnité peut être mesurée en pourcentage, et que cette valeur permet de distinguer des grandes catégories de médiumnité :

De 1 à 5 % : ces personnes n’ont en général aucune conscience d’être médiums. Et effectivement, il ne se passe pas grand-chose de particulier qui puisse les avertir de leur médiumnité. Leurs intuitions ne sont pas suffisamment fréquentes pour être remarquées, et passent à leurs yeux pour des coïncidences.
– de 5 à 25% : curieusement, je ne trouve quasiment personne dans ces valeurs, et je ne peux donc dire ce que ces personnes perçoivent ou ressentent.

De 30 à 50% : les ressentis de ces personnes vont des intuitions aux prémonitions les plus marquées, et de façon assez soutenue. Certaines ressentent ceci comme un avantage qui leur permet de ressentir les choses et leur permet de faire des choix judicieux.

Pour d’autres en revanche, ceci peut être effrayant…  Ainsi le cas de ce monsieur qui, en serrant la main d’une personne, eut la nette et brutale prémonition que cette personne, pourtant en pleine santé, allait mourir… Ce qui fut le cas 3 jours plus tard.  Je revois encore son expression quand il m’expliqua que ceci l’avait effrayé, et comment depuis, il marquait un temps d’hésitation avant de serrer une main tendue…

De 50 à 80% : les choses commencent à devenir sérieuses, et ces personnes sont susceptibles d’entendre les Esprits soit à l’état d’éveil, soit dans leur sommeil. Dans ce dernier cas,  le doute avec le rêve n’est pas permis :  la clarté, la précision et le souvenir parfait de ce qu’elles ont entendu, n’ont strictement rien à voir avec les impressions plus ou moins vagues issues d’un rêve.

Au-delà de 80% : ces personnes peuvent voir et/ou entendre les Esprits avec une certaine facilité.  Les médiums de cette catégorie sont relativement peu nombreux.

Malgré la présence et la puissance de la médiumnité à ce niveau, certains médiums ne savent tout simplement pas qu’ils le sont… Dans ce cas, les nuits sont généralement très compliquées pour eux, car ils attribuent ce qu’il leur arrive à quelque chose d’inexplicable, qui confine parfois à une malédiction.

Car une médiumnité non maîtrisée n’est pas toujours enviable. Ces personnes sont  dérangées en permanence par les Esprits, voient ou entendent des choses effrayantes qui les perturbent grandement, et ce jusqu’à les envoyer dans des asiles d’aliénés. C’est hélas le cas avec les personnes déclarées schizophrènes, qui ne sont autres que des médiums et qui l’ignorent.

Page à venir : les Schizophrènes


Les procédés

De nombreux procédés furent utilisés au fil du temps pour communiquer avec les Esprits.

Le plus connu d’entre eux fut sans doute le guéridon, aussi appelé « table tournante ». Le procédé était long et fastidieux, la table répondant aux questions par des coups frappés par ses pieds. 1 coup pour A, 2 pour B…

Devant la longueur des communications, les soucis de concentration et les risques d’erreurs,  on imagina alors un « jeu » qui n’en était pas un : le « Oui-ja ». Des cartes représentant un alphabet posé en rond sur une table, un objet qui pouvait glisser sur la table et indiquer les lettres, et sur cet objet, un simple verre renversé parfois,  les doigts de plusieurs personnes dont ceux  du médium…

La corbeille et le crayon avaient un avantage incomparable : le crayon, planté dans une corbeille à pain, et mis sur une feuille de papier, écrivait seul. Oui, vous avez bien lu : seul !  Il suffisait de l’alimenter en feuilles de papier. 3 magnifiques livres furent obtenus ainsi, par 3 mères de famille lyonnaises…
-Les origines et les fins, par 3 entités de l’Espace
-Entretiens spirites, suivis des plans de l’Espace
-Nouveaux entretiens spirites

Le procédé avait toutefois un inconvénient : il nécessitait des médiums très puissants, et plutôt rares.

Par  la communication directe, les Esprits se communiquent directement dans le cerveau du médium. Il s’agit alors d’un véritable dialogue interactif entre les Esprits et le médium.
Notons qu’aux temps anciens des grecs et des romains, les Pythies et Pythonisses avaient exactement les mêmes fonctions de communication, sauf qu’à l’époque, ces fonctions étaient officiellement reconnues.

Les Esprit peuvent aussi prendre le contrôle de la main du médium. Dans ce cas, le médium voit sa main courir sur le papier, indépendamment de lui, et il ne sait pas ce que sa main écrit ; il ne peut en avoir une idée qu’en lisant…

Et enfin, il est hélas des cas ou les Esprits prennent un contrôle quasi total sur les personnes, et on parle alors d’obsessions, ou de subjugations. Terribles choses qui peuvent  mener les victimes tout droit à la folie et à l’asile…


Quelques médiums

Les exemples foisonnent, et je ne peux hélas les citer tous… Pardon aux milliers de médiums qui mériteraient tout autant de figurer dans ces lignes…

        

Jeanne Laval, qui obtint des communications avec des Esprits très avancés. Le recueil qui en fut fait m’impressionna au point que je me mis en tête de vérifier ce qui y était dit.  Le résultat est dans ce site…

   

Allan Kardec, bien qu’il ne fut pas médium lui-même, classa de multiples communications en un livre qui allait devenir, par la pertinence de son propos, la bible mondiale du spiritisme…

Et encore…

Les « Lettres de Pierre » relatent les relations qu’a entretenues Pierre Monnier, jeune lieutenant tombé en 1918 sur le front de la Somme, avec sa maman.  Les communications, quasi quotidiennes, remplirent 7 livre.

Edgar Cayce, aux Etats Unis, donnait des diagnostics médicaux, des prescriptions médicales et bien d’autres choses, lorsqu’il était endormi. Il permit à des milliers de personnes de recouvrer la santé, et  fut surnommé « le prophète endormi »

Hermance Duffaux,  jeune fille de 14 ans,  écrivit quant à elle, l’histoire de Jeanne d’Arc en 15 jours. Le livre est si précis qu’il recoupe parfaitement toutes les archives historiques connues concernant Jeanne. Et Hermance fit de même pour Louis XIII…

Victor Hugo dont le génie littéraire n’est pas à démontrer était médium lui aussi. Son œuvre colossale, qui ne s’arrête pas aux Misérables, regorge de cette évidence !

Mon ami F. que je ne nommerai pas pour ne pas le gêner, vers qui je tourne mes questions sans réponse… Merci à lui et à ses Amis de l’Espace, grâce à qui ma compréhension de l’Autre Côté s’affine jour après jour. Merci pour l’éclairage des zones d’ombres, pour votre aide,  et pour votre soutien. Merci !

La Sensibilité des personnes

Nous sommes tous différents : goûts, couleurs, idées… et notre sensibilité face aux phénomènes géobiologiques suit la même logique.

Ceci pourrait être perçu comme un détail, mais dans la réalité, c’est très loin d’être le cas !

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Une affaire individuelle                  

Quelques valeurs de sensibilité     

Avantages et inconvénients           


Une affaire individuelle

La sensibilité aux phénomènes géobiologiques est mesurable, et le moins qu’on puisse dire, c’est que nous ne sommes pas tous égaux devant cette perception. De là vient parfois que Madame dort très mal et se réveille plusieurs fois par nuit, tandis que Monsieur, lui,  dort comme un bienheureux. Ou inversement.

Les personnes peu sensibles ne ressentent en général absolument rien. Et pensent donc que tout va bien.  Ceci peut être, hélas, un raccourci trompeur et dangereux, nous allons voir pourquoi un peu plus loin, au chapitre «  Avantages et inconvénients »

Pour les personnes les plus sensibles, les choses sont beaucoup plus compliquées… Une sensibilité géobiologique très élevée peut poser des problèmes sérieux que rien ne permet de raccrocher à quelque chose de tangible.  Les nuits sont fortement affectées, les journées aussi parfois, et l’ensemble peut s’apparenter à un véritable calvaire.

La sensibilité des bébés et des jeunes enfants est beaucoup plus exacerbée que la notre, et l’état géobiologique de leur environnement est souvent la principale cause de leurs problèmes. Avez-vous déjà vu le désespoir d’un enfant qui hurle de peur à l’idée de rester seul dans sa chambre ?  D’un enfant qui se réveille en pleurs 10 fois par nuit ? Et des parents de ces enfants ?  Ceci n’est ni normal, ni une fatalité.

   


Quelques valeurs de sensibilité

Sur une échelle de 0 à 100%, où 100 représente la sensibilité la plus élevée, les personnes qui se trouvent en-dessous de 25% ne ressentent quasiment rien. On les reconnaît au fait qu’elles dorment  bien quasiment partout, et en toutes circonstances.

Entre 25 à 80%, le ressenti monte graduellement mais n’est pas encore trop problématique, bien qu’autour de 80%, les personnes soient plutôt sensibles aux ambiances un peu chargées.

Au delà de  80%, un seuil est franchi et les personnes peuvent se retrouver très mal en fonction de l’environnement dans lequel elles se trouvent. Nervosité, nuits très agitées,maux de tête  Se retrouver en présence de perturbations, chez soi ou ailleurs, peut présenter de vraies difficultés de vie.

Et enfin, au delà de 90%, on rentre dans la zone « COMPLIQUÉ ».
La sensibilité semble devenir exponentielle,  et nous nous trouvons en présence de personnes qui peuvent avoir de (très) gros problèmes.  Ces personnes ne subissent plus seulement les problèmes, elles semblent les attirer…  La neutralisation devient difficile, et doit souvent être faite en plusieurs fois.

La sensibilité la plus élevée que j’aie jamais observée est de 99%… Je ne souhaite à personne de pouvoir dire mieux, ni même autant. La bonne nouvelle est qu’après neutralisation, cette personne vit presque normalement aujourd’hui.


Avantages et inconvénients

Malgré les désagréments qu’elle procure, une grande sensibilité peut malgré tout présenter un avantage conséquent : comprendre par le malaise ressenti, que nous sommes exposés à une perturbation, et avoir une chance de réagir.

Car une faible sensibilité n’exonère hélas pas des conséquences des perturbations !  A l’image des personnes qui ne craignent pas la chaleur et prennent des coups de soleil terribles, les perturbations géobiologiques ne feront aucun cadeau à celui qui aura le malheur de ne pas les ressentir.

Selon la nature de la perturbation, les effets directs et indirects seront plus ou moins terribles et rapides à se manifester de façon tangible. Comptez de quelques minutes à 20 ans… Le livre de Roger Lafforest donne à cet égard une multitude d’exemples de ce qu’il peut se passer dans les maisons…

Mais il faut bien reconnaître, hélas, que la Géobiologie étant encore très largement méconnue, les personnes sensibles subissent parfois une double peine : jour après jour, elles prennent de plein fouet les effets des perturbations, et n’ayant pas la connaissance de qu’il conviendrait de faire, en subissent également  les effets à long terme.
Pas cool, hein ?

Ces maisons qui tuent

Ces maisons qui tuent, de Roger de Lafforest, présente une très grande variété d’exemples de maisons construites « là où il ne fallait pas », et dont les perturbations qui les traversaient ont notablement altéré la santé de leurs occupants.

Vous découvrirez la somme de problèmes que peut générer une maison ou son sous-sol, et vous verrez surtout comment une habitation « bien décidée » peut tuer ses occupants en 2 ans…  Si vous deviez apprendre que dans votre maison ou votre appartement, tous les précédents propriétaires ou locataires ont eu de graves problèmes de santé, alors contactez au plus vite un bon géobiologue, car vous êtes réellement en danger.

Une personne a témoigné sur ce site de ce que son petit garçon de 2 ans faisait bronchites sur bronchites. Trois mémoires de cette maladie étaient dans son appartement, et depuis tout bébé, son lit était exactement situé sur une de ces mémoires. La suppression de ces mémoires entraina la disparition des bronchites…

Ce livre est très facile à lire, et ne nécessite aucune connaissance particulière en Géobiologie pour le comprendre.

Bonne lecture !

De la Science à la Géobiologie

Digne héritière de la Science des sourciers, La Géobiologie n’a pas à rougir de sa filiation.

La Géobiologie permet de détecter des énergies très subtiles, qui échappent à nos sens et à la plupart de nos instruments. Mais petit à petit, la Science « officielle » découvre, et parfois sans le savoir, les principes de la Géobiologie, et les reconnaît !…

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La science et l’invisible                       

Les phénomènes invisibles                

Une issue certaine                              


La science et l’invisible

Pour  fixer les choses, voici la définition du mot « Science » d’après le dictionnaire Larousse : 

Ensemble cohérent de connaissances relatives à certaines catégories de faits, d’objets ou de phénomènes obéissant à des lois et/ou vérifiés par les méthodes expérimentales

Pour faire bonne mesure, voici également la définition du mot « invisible » selon la même source :

Qui n’est pas perceptible par la vue, qui agit dans l’ombre : ennemi, menace invisible…

Voici peut-être une des origines de l’inquiétude ressentie par certaines personnes avec ce qui touche de trop près à l’invisible…


Les phénomènes invisibles

La  Géobiologie est une de ces sciences de l’invisible qui répond à des lois, que nous avons pour le moment du mal à établir parfaitement. Néanmoins les faits et l’évolution des techniques parlent pour elle, et en attendant l’heure bénie pour l’humanité où cette connaissance sera parfaitement  intégrée, voici comment, année après année, l’invisible devient perceptible grâce à la Science qui crée les instruments pour suppléer aux piètres  limites de nos sens.

     

Les phénomènes invisibles sont légions, et les exemples ci-dessous ont été choisis par le fait que tous, avant leur découverte, étaient inconnus ou inexplicables. Et la découverte de certains d’entre eux  furent en butte aux plus grandes réticences humaines et scientifiques.  

Que de choses déclarées impossibles, jusqu’au jour où elles se trouvèrent faites !

1800 : William Herschell, un astronome anglais, mesure la température dans chaque zone du spectre lumineux; il constate que le rouge chauffe plus que le bleu. Il s’aperçoit également qu’à coté du rouge, là où l’œil ne perçoit plus rien, le thermomètre indique une température encore plus élevée… Il vient de découvrir une gamme de rayonnement invisible à l’œil nu : les infrarouges.

1801 : Les rayons ultra-violets, invisibles à l’œil nu, sont découverts par le physicien allemand Johann Ritter d’après leur action chimique sur le chlorure d’argent.  Plus tard, d’autres applications de ces rayons UV furent découvertes. Il convient de reconnaître certains résultats tout à fait intéressants de ces recherches…

1886 : Heinrich Hertz découvre les ondes radio, elles aussi invisibles à l’œil nu. Elles seront appelées « ondes hertziennes » en son honneur.

1895 : Les rayons X, parfaitement invisibles à l’œil nu, sont découverts par le physicien Wilhelm Röntgen. Leur application : la radiographie, qui permet littéralement de voir au travers de notre corps.  Voici ce qu’en disent les Esprits : « … ces rayons prouvent à l’évidence, mieux que nous ne saurions le dire, que la matière n’est rien… »

J’accélère un peu le temps…

1983 : l’intrication quantique vient d’être prouvée… Ce phénomène strictement invisible fait apparaître aux scientifiques médusés qu’une information de nature strictement inconnue circule  beaucoup plus vite que la vitesse de la lumière

De façon pas du tout anecdotique, l’intrication quantique explique le pourquoi et le comment de la radiesthésie et du travail à distance des géobiologues, sourciers, leveurs de feu et magnétiseurs !

   

1995 : la première planète orbitant autour d’une autre étoile que notre soleil est découverte. Cette planète est non seulement invisible à l’œil nu, mais également invisible au télescope. Son existence a été calculée et déduite des mouvements de l’étoile autour de laquelle elle tourne. A peine quelques années auparavant, beaucoup de scientifiques pensaient encore très sérieusement que notre système solaire était une exception quasi-absolue dans l’Univers.

2008 : le Professeur Luc Montagnier devient prix Nobel de médecine pour ses travaux sur  le virus du sida. Fort de cette distinction mondialement reconnue, il affirme que ses travaux étaient inspirés de ceux de M. Jacques Benvéniste.

Stupéfaction absolue dans les milieux scientifiques, car M. Benvéniste avait travaillé dans les années 1980 sur la mémoire de l’eau, et la chose avait fait hurler au charlatanisme…  Attaques, moqueries, rétrogradation, démantèlement de son équipe de travail, vexations, rien n’avait été épargné à M. Benvéniste, qui avait pourtant lui aussi, quelque années auparavant, été pressenti pour un prix Nobel…

Mais en ce jour, ce n’était rien moins qu’un prix Nobel qui rétablissait l’honneur de M. Jacques Benvéniste, en prouvant qu’il avait eu raison.

2013 :  Retour aux étoiles… Les astronomes estiment à présent que chaque étoile possède un système planétaire complet. Ce qu’ils considéraient comme une exception est en fait la règle. Le nombre de planètes invisibles à l’œil nu se chiffrerait en millions de milliards, juste dans notre galaxie.

2016 : le nombre de planètes officiellement détectées, et bien entendu invisibles à l’œil nu, passe brutalement de 2 125  à 3 409, après que les données du télescope Képler, en orbite autour de la Terre, aient été examinées  et validées par la NASA.

Comme vous pouvez le voir dans cette liste absolument non exhaustive, les découvertes de l’invisible s’accumulent. Cette liste sera enrichie au fil de ma connaissance de ces découvertes fondamentales, mais l’issue ne fait aucun doute…


Une issue certaine

La Science fait aujourd’hui des pas de géant dans des domaines dont on ne soupçonnait même pas l’existence il y a seulement quelques années. Tous les jours, notre monde apparaît infiniment plus vaste que ce que nous l’imaginions. L’impensable d’hier est devenu la certitude d’aujourd’hui.

Ce n’est qu’une question de temps.  Inévitablement, entre la Science et la Géobiologie, la connexion se fera, et la lumière jaillira pour ne former qu’une seule Science éclairée pour le plus grand bien de l’Humanité.

Le Livre des Esprits

 

Le Livre des Esprits est considéré par l’ensemble des spirites comme la bible du spiritisme au niveau mondial, et son auteur,  Allan Kardec ni plus ni moins comme le révélateur de l’enseignement spirite.

Ce livre est absolument incontournable pour qui veut comprendre ce que sont les Esprits, de par la description extrêmement large et complète qui en est faite, et qui répond avec une impressionnante cohérence à beaucoup de questions que chacun a été amené un jour où l’autre à se poser.

Un conseil qui vaut ce qu’il vaut : je vous engage à ne débuter ce livre qu’à partir du deuxième chapitre (nommé parfois Livre Deuxième), et de ne lire ce qui précède qu’après…
Car bien des choses affirmées dans ces premières pages ont découragé plus d’un lecteur, faute de trouver les innombrables et magnifiques arguments qui n’apparaissent qu’à partir du deuxième chapitre…

A noter que ce livre n’étant plus couvert par les droits d’auteur, vous le trouverez facilement sur internet au format PDF

Bonne lecture !

La mort

Ce mot tant redouté évoque la disparition irrémédiable d’un être vivant, d’un parent, d’un ami, et toute la peine que ceci peut engendrer.

Mais cette vision ne reflète pas la réalité. Car si notre corps peut mourir, notre âme, elle, est immortelle !

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La mort                                             

Quand sommes-nous morts ?             

Le cordon d’argent                             

Le dégagement de l’âme                     


La mort

La mort en tant que disparition définitive de nous-mêmes n’existe pas. En réalité, c’est notre vie terrestre qui est un état particulier.  Lorsque nous mourons, nous redevenons ce que nous n’avons jamais cessé d’être : des Esprits. La mort qu’un passage d’un état incarné à un autre : désincarné.

Il serait alors peut-être bien de définir ce qu’est la mort…  Sortie du contexte de cet article, la question pourrait paraître saugrenue ; mais même comme ça, elle ne le serait pas.  Car la définition « humaine » de la mort n’a cessé d’évoluer au fil du temps…


Quand sommes-nous morts ?

Autrefois, l’arrêt de la respiration suffisait pour déclarer une personne morte, alors que ce n’était pas toujours le cas. Lors d’exhumations, des traces de griffures ont été retrouvées dans certains cercueils, à l’intérieur du couvercle. Pas cool…

Grâce aux progrès de la médecine et de la chirurgie, des personnes sont réanimées de plus en plus tard après que leurs fonctions vitales se soient arrêtées.  Il est en outre observé que les ongles et les cheveux continuent à pousser pendant quelques temps après ce que nous appelons la mort. Ce phénomène provient des cellules du corps qui continuent pendant quelque temps à vivre leurs propres vies).

Alors, quand peut-on vraiment dire que nous sommes morts ??… Ce sont les Esprits qui nous fournissent la solution : « … la mort n’est irréversible que lorsque le cordon d’argent à été rompu… »


Le cordon d’argent

Ce qui est nommé « cordon d’argent » n’est autre que le lien fluidique qui unit l’Esprit au corps. L’Esprit est intimement lié au corps, mais ce lien n’est pas rigide, il est souple et extensible et permet à l’âme de vagabonder hors du corps (âme désigne un Esprit quand il est incarné…).

Cela vous paraît incroyable ?  Pourtant bien des indications de ce phénomène existent, et nous en avons tous été témoins un jour ou l’autre. A l’état de veille notre Esprit est assez étroitement lié à notre corps par notre mental, mais il n’en va pas de même lorsque nous dormons.  Notre âme s’évade alors pour quelques heures de liberté, et le  » départ  » de l’âme se traduit par des sensations que nous ne savons généralement pas expliquer. En voici quelques unes :

Ainsi, une personne peut être si profondément endormie qu’il faut alors la secouer beaucoup et longtemps pour pouvoir la réveiller. Que dit-on alors ?  Elle est loin… !  Eh bien oui, elle est loin, et plus précisément, son Esprit est loin de son corps…  Le sommeil n’est-il d’ailleurs pas appelé « la petite mort » ?

Ce vagabondage de l’âme est d’ailleurs la source et l’explication de certains rêves, de certaines prémonitions que nous ramenons parfois à notre réveil. Lorsque ces choses se révèlent parfaitement exactes, laissez de côté la tentation d’expliquer ceci par le hasard… Ça n’en est pas !

L’impression fugitive de louper une marche qui survient parfois au moment où nous nous endormons… Quand cela arrive, ceci nous fait nous réveiller en sursaut, en même temps que nous mettons un grand coup de pied dans les draps. Pour certains, cette sensation peut se traduire par l’impression de s’enfoncer dans leur matelas.
Ces phénomènes ne sont autres que les sensations provoquées par le dégagement de l’âme alors que nous ne sommes pas encore totalement endormis. Pour les uns, l’Esprit s’est dirigé vers le haut, et pour les autres, vers le bas…
Au moment du réveil, certaines personnes ont la sensation de « tomber » plus ou moins brutalement dans leur lit. Ceci est l’indication d’un retour un tantinet trop rapide de l’âme dans leur corps !

le lapin peut simuler la mort à s'y méprendre en cas de danger

Lorsqu’ils sont en danger, certains animaux ou insectes adoptent une attitude surprenante : ils simulent la  mort. Ainsi, vous pouvez vous approcher au plus près de ces animaux, les toucher, les bousculer, ils n’esquisseront pas le moindre geste, ni la plus petite réaction, au point que nous les pourrions croire morts. Les Esprits nous disent  « … que ces animaux, ayant l’intuition que c’est leur esprit qui en danger plutôt que leur corps, projettent leur esprit au loin et attendent « à distance » que le danger s’éloigne pour revenir… »

Et enfin, comment ne pas citer le voyage astral, la forme la plus aboutie de la liberté de l’Esprit ? Un prochain article vous en dira plus sur ce qui est naturel chez les uns, et une technique apprise chez les autres.

La rupture du cordon d’argent est donc la libération complète de l’âme par rapport au corps. Est-ce que nous regrettons ce moment, ce corps, cette vie ?  Les Esprits répondent :  « … Demandes-tu à un prisonnier s’il est heureux de quitter sa prison ?… »


Le dégagement de l’âme

La mort arrive donc par cette rupture de notre cordon d’argent. Dès ce moment, ou parfois un peu avant, l’âme commence à se dégager du corps physique. Ce dégagement peut aller très vite ou prendre beaucoup de temps, selon notre avancement moral.

Dans le même temps, commence un autre processus… Quasiment tout le monde a entendu dire qu’au moment de mourir, notre vie défile devant nos yeux…  C’est parfaitement exact, et c’est une des étapes clés de notre évolution. Car c’est le moment où nous revoyons les bonnes et mauvaises actions que nous avons réalisées dans cette vie, et notre écart de comportement par rapport à ce que nous avions décidé avant de nous incarner. La vision claire de ces actions et de leurs conséquences font que l’Esprit choisira, pour sa prochaine incarnation, une vie où il subira les épreuves nécessaires pour racheter les mauvais agissements de sa vie passée.

Le total des actions de toutes nos vies est appelé « karma », mot qui signifie en sanskrit : « action ». Ce karma déterminera donc en quasi-totalité les épreuves de notre prochaine vie sur Terre, comme il a déterminé celles de nos vies précédentes.

La mort est également le moment où nous retrouvons nos parents ou nos amis partis avant nous. Ils sont là pour nous accueillir à notre sortie de l’incarnation, et donc de notre vie terrestre.  C’est ainsi que le Dr. Elisabeth Kubler-Ross, qui accompagna un grand nombre de personnes mourantes, s’aperçut que certaines d’entre elles voyaient déjà de l’autre côté alors qu’elles n’étaient pas encore tout à fait parties… Elle pu ainsi recueillir des multitudes de témoignages dans lesquels des mourants donnaient des nouvelles de personnes décédées.

« Le livre des Esprits » de Allan Kardec,  est une source inépuisable d’informations sur bien des sujets  en rapport avec l’Esprit.  Je ne peux que vous conseiller la lecture ce livre, considéré comme la bible mondiale du spiritisme.

   

Les Esprits

Quand nous parlons d’esprit, nous pensons généralement la partie pensante de nous-mêmes ; mais qu’en est-il quand nous parlons des Esprits ?

Le terme « esprit » est présent dans de nombreuses expressions telles que « avoir l’esprit vif, ou l’esprit ailleurs, ou être simple d’esprit, ou encore perdre l’esprit », mais la notion d’Esprit reste généralement plutôt floue. Alors de quoi parlons-nous vraiment ?

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Qu’est-ce que l’Esprit ?                           

Les indications de leur existence             

Les Esprits supérieurs                             


Qu’est-ce que l’Esprit ?

L’Esprit est l’essence absolue de nous-mêmes, c’est-à-dire notre âme, notre pensée, notre moi profond. C’est le principe qui réfléchit, décide, et fait agir notre corps. Et aussi ébouriffant que cela puisse paraître,  il est  IMMORTEL.

Entendons-nous bien : notre corps est mortel, il n’y a aucun doute sur ce point. Mais pas notre Esprit.  La conséquence de ceci est que rien de ce que nous pensons, savons, aimons, ne se perdra jamais.

Ainsi, ceux que l’on nomme Esprits sont les âmes de personnes décédées, passées sur un autre plan que le notre après leur décès. Lorsque la mort survient, le corps et l’âme se séparent : le corps retourne à la terre, et l’âme s’en va sur des plans plus élevés. Âme et Esprit sont presque synonymes, car le mot « âme » désigne un Esprit incarné, c’est-à-dire lié à un corps, à la chair, comme nous le sommes actuellement. Ceci implique qu’il y a donc quelque chose après la  mort, et que ceux qui pensent qu’il y a une « vie après la vie » sont dans le vrai.  La mort n’est donc pas la disparition définitive de nous-mêmes que tant de personnes redoutent.

S’il y a un « après la vie », il se pourrait qu’il y ait également eu un « avant la vie » !  Ceci est également une réalité, et la notion de réincarnation n’y est pas étrangère…  En effet, nous avons tous vécu à d’innombrables reprises, et ce depuis des millénaires, et n’en doutez pas, nous vivrons encore de très nombreuses vies après celle-ci.

   

A ce stade, il commence à être raisonnable de penser que tout ceci n’a rien à voir avec un quelconque hasard ! Et là encore, ceux qui pensent ainsi ont raison, car la Vie répond à des Lois que beaucoup d’entre nous ignorent. Si ces Lois étaient connues de l’humanité, la face du monde en serait changée radicalement, et bien rapidement.

La question qui vient généralement juste après est : si l’Esprit est immortel et qu’il s’est réincarné de si nombreuses fois, pourquoi ne nous en souvenons-nous pas ?  Eh bien parce que l’incarnation, c’est-à-dire le fait que notre Esprit se lie à la matière  (à la chair donc, ce qui donnera un beau bébé neuf mois plus tard ) recouvre d’un voile d’oubli plus ou moins opaque l’existence de nos vies antérieures.

Et les choses sont bien faites, car il y a d’excellentes raisons à cet oubli, la toute première étant que notre Esprit est en réalité bien plus que nous-mêmes ! Il est nous-mêmes, bien sûr, mais augmenté de toutes les expériences vécues dans nos vies antérieures, de toutes nos peurs, nos peines, angoisses et émotions plus ou moins violentes auxquelles nous avons été confrontés dans ces vies.  L’oubli est là pour éviter de faire de nous des névrosés dans chacune de nos vies, et comme vous allez le voir, pour nous permettre d’évoluer.

Les Esprits n’ont pas de corps au sens où nous l’entendons, c’est à dire pas de corps matériel.  C’est ce qui explique que l’immense majorité d’entre nous ne voyons pas les Esprits.  Mais ils ont quand même un corps éthéré, dit fluidique, que certaines personnes aux capacités particulières peuvent voir.  Ces personnes sont nommées médiums, entendeurs de voix, bipolaires parfois,  et aussi, hélas, schizophrènes…  Et vous allez voir que dans l’antiquité, ces personnes eurent bien d‘autres noms, et furent considérées bien autrement qu’aujourd’hui  !


Les indications de l’existence des Esprits

Quand tout se passe bien, les Esprits se retrouvent sur des plans élevés de l’Espace. Néanmoins, pour de multiples raisons, certains d’entre eux peuvent se retrouver sur Terre, dans nos maisons parfois, ou parfois juste à côté de nous. En fait, ils sont légions tout autour de nous…

Comme vous allez le voir, ceci ne relève nullement d’affirmations gratuites.  Il existe des indications tangibles de l’existence des Esprits, et de nombreux faits viennent étayer cette réalité fondamentale. Comment pourrait-il d’ailleurs en être autrement ?  Il suffit de savoir quoi regarder…


Les Esprits Supérieurs

En fonction des expériences qu’ils ont vécu dans la matière, et des enseignements qu’ils en ont retiré,  il s’établit pour les Esprits une hiérarchie vertueuse fondée sur la sagesse et l’abnégation, bien loin  de ce que nous connaissons sur terre des hiérarchies…  Ceux que nous nommons Anges et  Archanges sont autres que des Esprits Supérieurs.

Les Esprit Supérieurs ont acquis une sagesse telle que leur réincarnation sur Terre n’est plus nécessaire. Ils y reviennent toutefois de loin en loin en vue d’éclairer les hommes .  Ainsi, bien des Esprits Supérieurs sont venus apporter leur lumière et leur sagesse dans notre chaos.  Jésus fut le plus élevé d’entre tous, et l’on peut constater à quel point son passage fut remarquable, et remarqué :  rappelons simplement que nos années sont comptées à partir de Lui…

Enfin, pour ceux d’entre vous qui seraient intéressés par des explication plus approfondies à propos des des âmes et à de leur éternité,  je ne saurais trop conseiller  les  livres suivants :

        Livre : Les origines et les fins

 

Cours d’eaux souterrains et failles

En France, les cours d’eaux souterrains et les failles sont légions, et l’une des principales causes de perturbations telluriques. La nocivité d’un cours d’eau souterrain dépend de sa profondeur et de son débit. Plus il est profond avec un débit important, plus il est nocif pour nous et pour la végétation.

La nocivité d’un cours d’eau souterrain se mesure facilement avec un pendule.  Plus le taux de nocivité est élevé, et plus le cours d’eau peut amener – avec le temps – de sévères problèmes de santé. En dessous de 5% de nocivité, le cours d’eau souterrain est considéré comme quasi sans effet sur notre organisme.

Dormir au-dessus d’un cours d’eau peut générer des maladies humides telles que rhume, rhinite, et sinusites.  Maux de tête le matin au réveil, et parfois envies d’uriner fréquentes. Les nuits peuvent être difficiles, et certains cours d’eaux très nocifs peuvent aller jusqu’à provoquer des cancers.

Les sourciers, qui étaient jusqu’à il n’y a pas si longtemps encore indispensables, nombreux, et performants, connaissaient les problèmes liés aux cours d’eaux souterrains ou non, et c’est sans doute ainsi que certains cours d’eaux héritèrent de noms peu flatteurs qui servaient d’avertissement. Beaucoup de rivières ont encore pour nom « la Mauvaise », ou encore « la Maladière »… Vous voilà prévenus !

L’évocation des sourciers et de leurs célèbres baguettes prête à sourire de nos jours, mais en vérité, même aujourd’hui, il est bien peu de personnes qui n’en aient jamais entendu parler. D’ailleurs, la Géobiologie est issue au moins en partie de l’art des sourciers >>> Abbé Mermet ? Lyon

La mémoire de l’eau

L’eau, qu’elle soit souterraine ou non, se charge de toutes les influences qu’elle rencontre sur son parcours. Tuyaux de plomb, terrains insalubres, irradiés, produits chimiques… rien ne lui est épargnée. Il ne faut pas s’étonner si l’eau de nos robinets à parfois mauvais goût, ou parfois des effets tels que certaines personnes ne veulent plus en boire.

Cet effet d’influence se fait sentir notamment quand nous sommes en présence de personnes subissant des traitements par rayons. L’eau de la carafe prend alors un goût métallique et très désagréable.

Un scientifique travailla dans les années 80 à démonter la fameuse mémoire de l’eau, serpent de mer qui expliquerait le fonctionnement de l’homéopathie. Je vous invite vivement à aller faire un tour sur ce lien, Jacques Benvéniste et la mémoire de l’eau, vous comprendrez pourquoi bien des personnes s’acharnèrent à le ridiculiser.

Un scientifique, M. Jacque Benvéniste, travailla dans les années 80 sur la fameuse mémoire de l’eau, serpent de mer qui expliquerait le fonctionnement de l’homéopathie. Ses travaux montrèrent à l’évidence que l’eau avait bel et bien la mémoire de ce que nous mettons dedans.

Cela ne plut pas, mais alors pas du tout à bien des personnes, qui se chargèrent de destituer Jacques Benvéniste de ses fonctions et de toute possibilité de continuer ses travaux. Et pour cause…

Les failles

Les failles sont des fissures plus ou moins larges et profondes dans la terre ou la roche. La plupart du temps, ces failles sont invisibles. Avec  le temps, le limon, l’argile et la poussière les ont colmatées ; de la terre végétale s’est déposée par-dessus, et la végétation (ou le bitume) les ont recouvertes.

Ces failles se comportent comme les plaques de condensateurs électriques vis-à-vis des courants qui parcourent la terre : rupture de continuité dans le circuit, matière isolante entre les 2 bords de la faille… Il n’en faut pas plus pour générer un puissant courant électrique, qui va rayonner verticalement sur plusieurs centaines de mètres, affectant tout ce qui se trouve son passage, les habitants d’un immeuble par exemple…

Il n’est pas du tout indiqué de dormir à l’aplomb de telles failles. Comme pour les cours d’eau, la nocivité de ces failles est très variable, et les plus virulentes peuvent aller jusqu’à causer le cancer chez les personnes qui ont la malchance de dormir à leur aplomb. Mais d’expérience, les effets nocifs des failles sont facilement plus violents que ceux des cours d’eaux.

L’observation dans la nature

Quand on sait quoi regarder, la présence de cours d’eaux souterrains ou de failles se détecte parfois sans instrument. Toutefois, les failles provoquant sensiblement les mêmes signes que ceux générés par les cours d’eaux, il est difficile de savoir si l’on a à faire à l’un ou à l’autre sans moyen de mesure.

Voici les signes de ces présences :

– Des arbres qui poussent curieusement penchés, anormalement chétifs, ou qui présentent des tumeurs sur leurs troncs. Quand nous sommes en présence d’un cours d’eau ou d’une faille, nous allons nous déplacer très naturellement, sans même nous en rendre compte, pour nous dégager de la perturbation.

C’est d’ailleurs parfois l’explication de ces bébés que l’on retrouve systématiquement calés tout à fait dans le coin de leur petits lits, et qui ont cherché inconsciemment à se dégager d’une perturbation.

Pour l’arbre, la chose est différente. La graine a germé là, et il n’a pas la possibilité de se déplacer pour échapper à la perturbation.  Alors, il va s’en dégager en poussant penché, en vue de laisser le moins de prise possible à ladite perturbation. Si par malheur l’arbre a poussé en plein d’une telle perturbation, il va pousser lentement, végéter, tomber malade et dépérir à plus ou moins long terme.

C’est ainsi qu’on peut observer des différences de vitalité très visibles dans une haie : les plants qui se trouvent à la verticale du cours d’eau dépérissent et meurent.

– Des buis ou des sureaux (sur eau…) en bonne santé trahissent la présence de cours d’eaux dont  ils apprécient la présence.

– Des lézardes dans les murs se créent à la verticale du passage des cours d’eaux souterrains et des failles. Dans les zones denses en habitations, il est parfois possible de visualiser la trajectoire du cours d’eau rien qu’en suivant les fissures qui se forment sur les murets de clôture des maisons, et parfois sur les murs eux-mêmes.

Neutralisation

Une neutralisation géobiologique supprime les effets nocifs des cours d’eaux et des failles,  et l’on peut ensuite dormir au-dessus sans problème.
Dans une certaine mesure, il es possible  de redonner à l’eau un taux vibratoire élevé (donc d’augmenter la qualité de l’eau) mais il ne faut pas rêver : si l’eau traverse un endroit fortement pollué, il n’y aura rien à faire tant que la source de pollution n’aura pas été enlevée.

Les vibrations

Considérons les vibrations du plutonium… Si ces vibrations peuvent tuer, il est probable qu’à l’autre bout du spectre, certaines puissent être bénéfiques. Et heureusement pour nous, c’est exactement le cas…

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Dans l’Univers, tout vibre !                

La mesure des vibrations                  

Caractéristiques des vibrations         


Dans l’Univers, tout vibre !

Les atomes, la Terre, les lieux, les maisons, les objets… Ces vibrations sont structurelles, intimement et irrémédiablement liées à la matière ; elles sont provoquées par les électrons qui  tournent autour des noyaux des atomes. Pas le choix, nous sommes faits avec, et nous devrons faire avec…

Les vibrations dont se préoccupe la Géobiologie sont invisibles, ténues, et permanentes. Leurs effets sont déterminants sur notre santé, et il est très important de mesurer leur nocivité. Le fait que nous ne les percevions pas (ou peu) participe à la dangerosité des vibrations nocives.

Des effets invisibles : Considérons une hélice d’avion, et démarrons le moteur. L’hélice tourne, et déjà ses contours s’estompent au point que nous avons du mal à en préciser sa forme. Accélérons le moteur, et l’hélice devient presque invisible.  Imaginons de multiplier la vitesse par 10 ou par 100 : nous ne verrions plus du tout l’hélice, mais nous ressentirions malgré tout l’effet du puissant courant d’air créé par elle.

Parfaitement visible ici, l'hélice de cet avion va le devenir de moins en moins au fur et à mesure que sa vitesse va augmenter, jusqu'à devenir quasiment invisible... et très dangereuse.

Il en est de même pour les phénomènes géobiologiques. Leurs fréquences de vibrations sont telles qu’ils échappent à notre vue, alors que nous pouvons en subir des effets très violents.

Des effets ténus, mais permanents : pour se donner une idée de ces effets, il n’est qu’à considérer l’action de l’eau sur la roche. A peine perceptible à l’échelle humaine, l’action de l’eau a en bien des endroits façonné notre planète en d’impressionnants canyons.

Des effets au quotidien : les effets de certaines vibrations transparaissent dans notre vie de tous les jours  sans que nous y prenions vraiment garde : des fourmillements ressentis en certains endroits de la maison, sur un canapé ou dans un lit par exemple, des cercles foncés dans l’herbe de nos pelouses, des arbres penchés ou tordus, des différences de vitalité dans une haie… Tout ceci révèle la présence de vibrations perturbantes.

Ces effets, nocifs pour nos organismes, sont appelés perturbations, et peuvent affecter sévèrement la santé : maux de tête à répétitions, sommeils perturbés, matins où l’on se réveille plus fatigué qu’au couché, maladies plus ou moins graves que la médecine est impuissante à enrayer. Certaines perturbations incroyablement violentes peuvent tout à fait tuer une personne en quelques années.  Voir à ce sujet le livre tout à fait édifiant de Roger de Lafforest : « Ces maisons qui tuent »

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La mesure des vibrations

Depuis des temps immémorables, les sourciers, munis de leurs baguettes, ont capté les vibrations émises par les cours d’eau.

Au début des années 1900, André Bovis, radiesthésiste de son état, chercha à quantifier ces vibrations. Il créa une échelle de mesure (graduée en Unités Bovis, UB pour les intimes ) et la testa sur des fruits.
Son idée était de mettre en corrélation les valeurs obtenues avec l’aspect visuel des fruits : frais, passés, blets, pourris…

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Ce fut une excellente idée, car la corrélation s’avéra bien réelle…  Ce fut sans doute un premier pas vers une démarche scientifique, car les vibrations étaient ainsi devenues quantifiables, et leurs propriétés reconnaissables. Des valeurs tangibles indiquaient à présent que certaines de ces vibrations étaient «bonnes », tandis que d’autres étaient perturbantes.

A cette époque, André Bovis détermina qu’un taux vibratoire équilibré se situait à 6500UB.  Mais il est assez courant que d’un géobiologue à l’autre, on puisse observer des différences dans les mesures. Cette  disparité est due à la perception propre à chaque géobiologue, au système de référence utilisé, à ses propres repères…

Cela n’a pas – dans certaines limites quand même – l’importance que l’on pourrait croire. L’important est que les géobiologues soient d’accord pour dire que tel endroit est perturbant ou non, et qu’ils puissent neutraliser sa nocivité.

Toutefois, une échelle de mesure appelée Biodynamètre supprime cette apparente disparité. Cette échelle ne donne pas de valeur, mais directement l’état vibratoire des lieux et des personnes. et met généralement tout le monde d’accord… Bonne chose !
Pour faire une analogie simple, une échelle Bovis indique votre tension artérielle, tandis que le Biodynamètre vous dit si vous êtes malade ou en bonne santé.

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Les caractéristiques des vibrations

Grosso modo, plus un taux vibratoire est élevé, mieux c’est, mais dans certaines limites !
Un taux vibratoire exagérément élevé peut parfaitement empêcher une personne de dormir en la mettant dans un état de grande excitation.

D’ailleurs chez certains enfants hyperactifs , il ne faut pas chercher ailleurs les causes du problème.

thermometer in the sky, the heat

Inversement, mais vous l’auriez deviné, plus la valeur d’une vibration est basse, et moins bien c’est. Dans un lieu aux basses vibrations, nous ne nous sentons pas bien. Cela peut aller du simple ressenti au mal de tête carabiné, d’une fatigue insurmontable jusqu’au déclenchement de maladies.

En clair, il ne faut pas trop rigoler avec ça. La page consacrée aux perturbations vous donnera un petit florilège de ce que peuvent donner des vibrations trop basses.

Le taux vibratoire est un terme que les géobiologues emploient beaucoup, et qui représente la qualité d’une vibration, d’une énergie. En mesurant des taux vibratoires judicieusement choisis, il est possible de  qualifier les vibrations émises par un lieu, une maison, une personne, un animal, un objet… enfin à peu près tout ce qu’on veut.

Comme pour l’échelle Celsius des températures, l’échelle Bovis ne s’arrête pas à zéro et se prolonge vers le bas. Il n’existe pas de limite connue, ni pour les valeurs supérieures, ni pour les valeurs inférieures.  C’est ainsi que certains lieux très négatifs peuvent engendrer rapidement des maladies graves.

Ainsi, dans un appartement de Bourgoin, le taux vibratoire à l’aplomb de la table du salon était de -700 000UB, ce qui est incroyablement bas. La personne qui habitait là ressentait devant cette table des troubles puissants. A son aplomb,  se croisaient exactement 3 cours d’eau et 1 faille extrêmement nocifs.

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Les instruments de mesure

Un cadran ( il en existe des dizaines), un pendule, une antenne, et vous voilà théoriquement  prêts à faire vos premières  mesures. C’est tout ??  Oui, c’est tout… Et au risque d’en faire frémir certains, je vous assure qu’un pendule est un instrument de grande précision.

Mystische Pendelszene

Si vous êtes naturellement très sensible, il se peut que les résultats soient parfaits dès vos premières mesures ( j’en ai rencontré, ces personnes existent !).  Mais dans la plupart des cas, il vous faudra travailler pour développer cette faculté…  Bon, en même temps c’est valable pour beaucoup de choses, hein… Mettez un violon dans les mains d’une personne qui n’en a jamais joué, et il y peu de chances que vous soyez ébloui par du Mozart dès les premières notes.

Vous lirez souvent que le pendule n’a pas d’importance, et c’est presque vrai. Un pendule peut être un simple boulon accroché à une ficelle, ça ne changera rien au principe. Mais dans le détail, un pendule adapté est quand même drôlement plus précis qu’un boulon ! Un menuisier peut très bien enfoncer un clou avec une clé à molette, mais un marteau est quand même sacrément plus pratique.

Un pendule ne mesure rien tout seul.  Si vous accrochez un pendule à une potence et que vous attendez de voir ce qu’il se passe, vous risquez d’attendre longtemps, j’ai essayé…

Vous lirez souvent que c’est notre corps qui réagit aux vibrations recherchées par des micro-mouvements que  le pendule amplifie. Et là je ne suis pas trop d’accord…
Lorsque mon pendule indique une valeur, et que j’essaie volontairement de le déloger de cette valeur, il résiste et cherche à revenir à ladite valeur. C’est d’ailleurs un moyen de contrôle lorsque l’on n’est pas trop sûr de sa mesure. Si le pendule agissait en fonction de micro-mouvements, il y a belle lurette que j’aurai obtenu  n’importe quoi, et cessé la Géobiologie…

Mon avis, qui n’engage que moi, est que le pendule participe activement à la chaine de mesure que forme l’ensemble Esprit-corps-bras-pendule. Oui, vous avez bien lu « Esprit », et nous en reparlerons.

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La Géobiologie

Les vibrations

La Géobiologie est une science qui se préoccupe des vibrations qui nous perturbent. Ces vibrations sont partout : les atomes émettent des vibrations, la lumière est une vibration, et le crin-crin lancinant du violon du fils du voisin en est une également.

Certaines de ces vibrations ne nous veulent pas que du bien : vibrations émises par les cours d’eaux souterrains, les failles, les murs de nos maisons, et bien d’autres phénomènes dont ceux liés aux téléphones portables, au wifi… Quelques personnes sont devenues si sensibles qu’elles doivent habiter dans des zones dites blanches, loin des villes.

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Géobiologie : une définition              

Des effets très concrets                    

Des traces dans l’Histoire                  

La réapparition du savoir                  


Une définition

Le mot Géobiologie vient de Géo, la terre, et de biologie, la science du vivant. La Géobiologie est la science des vibrations de la terre, et par extension, des lieux, des maisons, des objets… et de leur interaction avec nous. Aussi surprenant que cela puisse paraître au premier abord, les 3 règnes, animal (dont nous faisons partie), végétal et minéral, sont concernés.

La Géobiologie permet donc de détecter les vibrations qui nous affectent, et d’en modifier les effets. Non, il ne s’agit pas de magie, mais bien d’une science trop peu connue qui existe pourtant depuis des temps immémoriaux, et que la Science est en train de découvrir, mais doucement…  Mais juste avant de détailler ce que sont ces vibrations qui nous préoccupent, voyons déjà les effets qu’elles peuvent avoir sur nous…

Des effets très concrets

La première approche de la Géobiologie se fait hélas trop souvent par son côté « obscur ». Voici un petit aperçu de ce qu’il peut se passer lorsqu’une maison ou un lieu ne sont pas géobiologiquement sains :

  • perte de sommeil
  • nuits agitées, cauchemars
  • maux de tête à répétition
  • réveils où l’on se sent plus fatigué qu’au coucher
  • syndrome des jambes impatientes
  • sensations inexplicables de mal-être chez soi pouvant aller jusqu’à l’envie de déménager
  • lieux où l’on ne se sent pas très bien sans que l’on sache vraiment pourquoi
  • atmosphères lourdes et oppressantes
  • sautes d’humeur inexplicables
  • formes d’abattement ou d’hyperactivité
  • dégradations de l’état de santé sans que la médecine puisse trouver d’explication médicale franche
  • entendre des voix dont on ne peut localiser la provenance
  • visions improbables que les gens préfèrent taire
  • schizophrènie…

Lorsqu’elles provoquent ce genre de troubles, les vibrations sont appelées perturbations. Ces perturbations ont de multiples causes, certaines tout à fait tangibles, tandis que d’autres sont tout simplement impalpables. Ce qui n’empêche pas ces perturbations d’interagir avec nous de façons  très désagréables, et parfois très dangereuses.

   

La bonne nouvelle, c’est que la Géobiologie ne se contente pas de constater ces perturbations, mais qu’elle permet également d’y apporter des solutions.

Une femme blonde sereine au milieu de la nature

Un lieu géobiologiquement sain est propice à une bonne santé, il y règne un équilibre et un bien-être propre au repos et à la paix de l’esprit. La végétation s’y développe harmonieusement.

Mon travail consiste donc à déterminer d’où proviennent ces perturbations, à les neutraliser, et à restituer un environnement sain.  Mais avant de vous dire comment, je vous propose de me suivre dans les pages de ce site, où, je l’espère, chaque ligne vous fera apparaître un aspect souvent inconnu et inattendu des choses, et esquissera un pas vers des explications cohérentes que vous êtes en droit d’attendre.

Des traces tout au long de l’Histoire

Si la Géobiologie paraît être une science nouvelle, il n’en est rien… C’est une science qui remonte à la nuit des temps…

Site préhistorique d’Achnabreck, en Ecosse… Des cercles gravés sur des dalles de pierre depuis 5000 ans posent une  énigme aux chercheurs. Que pouvaient bien signifier ces dessins ?

C’est un géobiologue qui remarqua que certains d’entre eux marquaient très précisément l’emplacement de phénomènes nommés cheminées cosmo-telluriques. Ce terme bien complexe désigne en fait un phénomène que chacun d’entre nous a croisé à de multiples reprises : un cercle d’herbe foncée au milieu d’une pelouse…

Rien d’exceptionnel en apparence, sauf que ces cheminées cosmo-telluriques marquent l’emplacement d’énergies qui peuvent altérer sévèrement la nôtre, et qu’il vaut donc mieux ne pas trop stationner dessus.

des cercles gravés dans la roche depuis plus de 5000 ans
Vieux de 5000 ans, les cercles d’Achnabreck montrent que très tôt dans l’Histoire, les hommes connaissaient les phénomènes géobiologiques, et qu’ils leur accordaient suffisamment d’importance pour les graver dans la roche.

En Bretagne, l’emplacement des menhirs et des dolmens ne doit rien au hasard, et toute personne un tant soit peu versée dans la Géobiologie peut le vérifier aisément. Le légendaire savoir des druides n’était pas usurpé.

alignements de menhirs en Bretagne
La Géobiologie montre que les menhirs avaient une excellente raison d’être : ils bonifiaient le lieu. Ne doutons pas que les druides avaient également leurs raisons pour créer de tels alignements !

Plus près de nous, les romains savaient que pour être en bonne santé, il fallait que la nourriture, l’air, l’eau et le sous-sol soient de bonne qualité. Leurs connaissances sur le sujet étaient impressionnantes, comme en témoignent les livres de l’architecte Vitruve. Je ne suis pas très sûr que nous en sachions encore autant aujourd’hui.

A la fin du 12ème siècle, les bâtisseurs d’églises étaient des initiés de très haut niveau. Ces églises étaient des lieux de soins, et pour ceux qui ont cette connaissance, ces monuments l’attestent sans l’ombre d’un doute. L’Ordre des Templiers était du nombre de ces bâtisseurs.

Un moine de l'ordre des templiers contemple un livre

Mais alors, pourquoi la Géobiologie est-elle si peu connue ?
Parce que ce savoir a failli disparaître, et que cela ne date pas d’hier.  En 1307, En 1300, l’Église et le roi Philippe le Bel s’associèrent pour éradiquer les Templiers. Le déclin allait être brutal à plus d’un titre : leur science, ce qu’on appelle aujourd’hui  la Géobiologie, en fit sévèrement les frais.




Et le savoir réapparut…

Comment le savoir presque éteint reprit vie, je n’en ai qu’une petite idée.  Je crois que le germe couvait silencieusement à l’abri des regards, en attendant de pouvoir revenir à la Lumière…

le germe du savoir revient à la lumière, offret par des mains inconnues
Le germe du savoir revint enfin à la Lumière. Sans doute les temps étaient-ils arrivés…


En 1850, une immense vague de spiritisme déferla
sur les États-Unis et l’Europe, qui virent apparaître nombre de médiums très puissants.  L’ampleur de cette vague fut telle qu’elle perdura quasiment un siècle. C’est de là que vint la pratique de « faire tourner les tables », considérée de nos jours comme relevant de la douce psychiatrie… Mais nos grands-parents n’était pas fous, et si l’on prend le temps de s’y arrêter, quelque chose dans leur mode de vie laisserait-il à penser qu’ils pouvaient l’être ?  Non.  Considérons notre mode de vie actuel : nous sommes bien plus fous qu’ils ne le furent jamais.

Le spiritisme créa un appel d’air pour le magnétisme, lequel amorça à son tour le retour de ces savoirs à la lumière dans les années 1960.  Le savoir des sourciers fut alors étudié, élargi à des domaines connexes, et faute de connaître le mot qui était employé avant, on lui donna un nom tout neuf : la Géobiologie.

Depuis quelques années, ce savoir fait une entrée discrète dans le monde de la médecine. Les magnétiseurs,  hypnotiseurs et leveurs de feu commencent à être reconnus pour ce qu’ils sont : les détenteurs d’une connaissance délibérément ignorée pendant des siècles. Ces sciences apportent des solutions encore peu usitées, mais remarquablement efficaces à des maux que, faute de connaître leur nature profonde, la médecine ne peut que constater.

Petite question subsidiaire : Pourquoi la Géobiologie et biens d’autres Sciences sont-elles qualifiées de  « parallèles », alors qu’elles existent depuis la nuit des temps, et que la médecine allopathique n’existe depuis guère plus de 100 ans ???   Je crains que la réponse ne soit désagréable à entendre.