Cours d’eaux souterrains et failles

En France, les cours d’eaux souterrains et les failles sont légions, et l’une des principales causes de perturbations telluriques. La nocivité d’un cours d’eau souterrain dépend de sa profondeur et de son débit. Plus il est profond avec un débit important, plus il est nocif pour nous et pour la végétation.

La nocivité d’un cours d’eau souterrain se mesure facilement avec un pendule.  Plus le taux de nocivité est élevé, et plus le cours d’eau peut amener – avec le temps – de sévères problèmes de santé. En dessous de 5% de nocivité, le cours d’eau souterrain est considéré comme quasi sans effet sur notre organisme.

Dormir au-dessus d’un cours d’eau peut générer des maladies humides telles que rhume, rhinite, et sinusites.  Maux de tête le matin au réveil, et parfois envies d’uriner fréquentes. Les nuits peuvent être difficiles, et certains cours d’eaux très nocifs peuvent aller jusqu’à provoquer des cancers.

Les sourciers, qui étaient jusqu’à il n’y a pas si longtemps encore indispensables, nombreux, et performants, connaissaient les problèmes liés aux cours d’eaux souterrains ou non, et c’est sans doute ainsi que certains cours d’eaux héritèrent de noms peu flatteurs qui servaient d’avertissement. Beaucoup de rivières ont encore pour nom « la Mauvaise », ou encore « la Maladière »… Vous voilà prévenus !

L’évocation des sourciers et de leurs célèbres baguettes prête à sourire de nos jours, mais en vérité, même aujourd’hui, il est bien peu de personnes qui n’en aient jamais entendu parler. D’ailleurs, la Géobiologie est issue au moins en partie de l’art des sourciers >>> Abbé Mermet ? Lyon

La mémoire de l’eau

L’eau, qu’elle soit souterraine ou non, se charge de toutes les influences qu’elle rencontre sur son parcours. Tuyaux de plomb, terrains insalubres, irradiés, produits chimiques… rien ne lui est épargnée. Il ne faut pas s’étonner si l’eau de nos robinets à parfois mauvais goût, ou parfois des effets tels que certaines personnes ne veulent plus en boire.

Cet effet d’influence se fait sentir notamment quand nous sommes en présence de personnes subissant des traitements par rayons. L’eau de la carafe prend alors un goût métallique et très désagréable.

Un scientifique travailla dans les années 80 à démonter la fameuse mémoire de l’eau, serpent de mer qui expliquerait le fonctionnement de l’homéopathie. Je vous invite vivement à aller faire un tour sur ce lien, Jacques Benvéniste et la mémoire de l’eau, vous comprendrez pourquoi bien des personnes s’acharnèrent à le ridiculiser.

Un scientifique, M. Jacque Benvéniste, travailla dans les années 80 sur la fameuse mémoire de l’eau, serpent de mer qui expliquerait le fonctionnement de l’homéopathie. Ses travaux montrèrent à l’évidence que l’eau avait bel et bien la mémoire de ce que nous mettons dedans.

Cela ne plut pas, mais alors pas du tout à bien des personnes, qui se chargèrent de destituer Jacques Benvéniste de ses fonctions et de toute possibilité de continuer ses travaux. Et pour cause…

Les failles

Les failles sont des fissures plus ou moins larges et profondes dans la terre ou la roche. La plupart du temps, ces failles sont invisibles. Avec  le temps, le limon, l’argile et la poussière les ont colmatées ; de la terre végétale s’est déposée par-dessus, et la végétation (ou le bitume) les ont recouvertes.

Ces failles se comportent comme les plaques de condensateurs électriques vis-à-vis des courants qui parcourent la terre : rupture de continuité dans le circuit, matière isolante entre les 2 bords de la faille… Il n’en faut pas plus pour générer un puissant courant électrique, qui va rayonner verticalement sur plusieurs centaines de mètres, affectant tout ce qui se trouve son passage, les habitants d’un immeuble par exemple…

Il n’est pas du tout indiqué de dormir à l’aplomb de telles failles. Comme pour les cours d’eau, la nocivité de ces failles est très variable, et les plus virulentes peuvent aller jusqu’à causer le cancer chez les personnes qui ont la malchance de dormir à leur aplomb. Mais d’expérience, les effets nocifs des failles sont facilement plus violents que ceux des cours d’eaux.

L’observation dans la nature

Quand on sait quoi regarder, la présence de cours d’eaux souterrains ou de failles se détecte parfois sans instrument. Toutefois, les failles provoquant sensiblement les mêmes signes que ceux générés par les cours d’eaux, il est difficile de savoir si l’on a à faire à l’un ou à l’autre sans moyen de mesure.

Voici les signes de ces présences :

– Des arbres qui poussent curieusement penchés, anormalement chétifs, ou qui présentent des tumeurs sur leurs troncs. Quand nous sommes en présence d’un cours d’eau ou d’une faille, nous allons nous déplacer très naturellement, sans même nous en rendre compte, pour nous dégager de la perturbation.

C’est d’ailleurs parfois l’explication de ces bébés que l’on retrouve systématiquement calés tout à fait dans le coin de leur petits lits, et qui ont cherché inconsciemment à se dégager d’une perturbation.

Pour l’arbre, la chose est différente. La graine a germé là, et il n’a pas la possibilité de se déplacer pour échapper à la perturbation.  Alors, il va s’en dégager en poussant penché, en vue de laisser le moins de prise possible à ladite perturbation. Si par malheur l’arbre a poussé en plein d’une telle perturbation, il va pousser lentement, végéter, tomber malade et dépérir à plus ou moins long terme.

C’est ainsi qu’on peut observer des différences de vitalité très visibles dans une haie : les plants qui se trouvent à la verticale du cours d’eau dépérissent et meurent.

– Des buis ou des sureaux (sur eau…) en bonne santé trahissent la présence de cours d’eaux dont  ils apprécient la présence.

– Des lézardes dans les murs se créent à la verticale du passage des cours d’eaux souterrains et des failles. Dans les zones denses en habitations, il est parfois possible de visualiser la trajectoire du cours d’eau rien qu’en suivant les fissures qui se forment sur les murets de clôture des maisons, et parfois sur les murs eux-mêmes.

Neutralisation

Une neutralisation géobiologique supprime les effets nocifs des cours d’eaux et des failles,  et l’on peut ensuite dormir au-dessus sans problème.
Dans une certaine mesure, il es possible  de redonner à l’eau un taux vibratoire élevé (donc d’augmenter la qualité de l’eau) mais il ne faut pas rêver : si l’eau traverse un endroit fortement pollué, il n’y aura rien à faire tant que la source de pollution n’aura pas été enlevée.

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