Nous sommes tous différents : goûts, couleurs, idées… et notre sensibilité face aux phénomènes géobiologiques suit la même logique.
Ceci pourrait être perçu comme un détail, mais dans la réalité, c’est très loin d’être le cas !
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Quelques valeurs de sensibilité
Une affaire individuelle
La sensibilité aux phénomènes géobiologiques est mesurable, et le moins qu’on puisse dire, c’est que nous ne sommes pas tous égaux devant cette perception. De là vient parfois que Madame dort très mal et se réveille plusieurs fois par nuit, tandis que Monsieur, lui, dort comme un bienheureux. Ou inversement.
Les personnes peu sensibles ne ressentent en général absolument rien. Et pensent donc que tout va bien. Ceci peut être, hélas, un raccourci trompeur et dangereux, nous allons voir pourquoi un peu plus loin, au chapitre « Avantages et inconvénients »
Pour les personnes les plus sensibles, les choses sont beaucoup plus compliquées… Une sensibilité géobiologique très élevée peut poser des problèmes sérieux que rien ne permet de raccrocher à quelque chose de tangible. Les nuits sont fortement affectées, les journées aussi parfois, et l’ensemble peut s’apparenter à un véritable calvaire.
La sensibilité des bébés et des jeunes enfants est beaucoup plus exacerbée que la notre, et l’état géobiologique de leur environnement est souvent la principale cause de leurs problèmes. Avez-vous déjà vu le désespoir d’un enfant qui hurle de peur à l’idée de rester seul dans sa chambre ? D’un enfant qui se réveille en pleurs 10 fois par nuit ? Et des parents de ces enfants ? Ceci n’est ni normal, ni une fatalité.
Quelques valeurs de sensibilité
Sur une échelle de 0 à 100%, où 100 représente la sensibilité la plus élevée, les personnes qui se trouvent en-dessous de 25% ne ressentent quasiment rien. On les reconnaît au fait qu’elles dorment bien quasiment partout, et en toutes circonstances.
Entre 25 à 80%, le ressenti monte graduellement mais n’est pas encore trop problématique, bien qu’autour de 80%, les personnes soient plutôt sensibles aux ambiances un peu chargées.
Au delà de 80%, un seuil est franchi et les personnes peuvent se retrouver très mal en fonction de l’environnement dans lequel elles se trouvent. Nervosité, nuits très agitées,maux de tête… Se retrouver en présence de perturbations, chez soi ou ailleurs, peut présenter de vraies difficultés de vie.
Et enfin, au delà de 90%, on rentre dans la zone « COMPLIQUÉ ».
La sensibilité semble devenir exponentielle, et nous nous trouvons en présence de personnes qui peuvent avoir de (très) gros problèmes. Ces personnes ne subissent plus seulement les problèmes, elles semblent les attirer… La neutralisation devient difficile, et doit souvent être faite en plusieurs fois.
La sensibilité la plus élevée que j’aie jamais observée est de 99%… Je ne souhaite à personne de pouvoir dire mieux, ni même autant. La bonne nouvelle est qu’après neutralisation, cette personne vit presque normalement aujourd’hui.
Avantages et inconvénients
Malgré les désagréments qu’elle procure, une grande sensibilité peut malgré tout présenter un avantage conséquent : comprendre par le malaise ressenti, que nous sommes exposés à une perturbation, et avoir une chance de réagir.
Car une faible sensibilité n’exonère hélas pas des conséquences des perturbations ! A l’image des personnes qui ne craignent pas la chaleur et prennent des coups de soleil terribles, les perturbations géobiologiques ne feront aucun cadeau à celui qui aura le malheur de ne pas les ressentir.
Selon la nature de la perturbation, les effets directs et indirects seront plus ou moins terribles et rapides à se manifester de façon tangible. Comptez de quelques minutes à 20 ans… Le livre de Roger Lafforest donne à cet égard une multitude d’exemples de ce qu’il peut se passer dans les maisons…
Mais il faut bien reconnaître, hélas, que la Géobiologie étant encore très largement méconnue, les personnes sensibles subissent parfois une double peine : jour après jour, elles prennent de plein fouet les effets des perturbations, et n’ayant pas la connaissance de qu’il conviendrait de faire, en subissent également les effets à long terme.
Pas cool, hein ?