Jeanne d’Arc

Vous rappelez-vous que Jeanne d’Arc, une jeune bergère qui entendait des voix, apparaît dans nos livres d’Histoire ?  Eh bien, Jeanne d’Arc était médium, et sa médiumnité permit tout simplement à la France de continuer à exister.

En 1429, pendant la guerre de 100 ans, les anglais régnaient alors en maîtres absolus sur le Nord de la France.  La chevalerie française avait été décimée en 1415 à la bataille d’Azincourt, Charles VII s’était réfugié à Tours, où son indécision maladive le condamnait à rester, et seuls les Anglais et le désespoir régnaient en maîtres dans les contrées envahies, où des bandes armées pillaient et tuaient tout ce qu’elles trouvaient sur leur chemin. Nul ne pouvait se penser à l’abri.

C’est dans ce contexte  que Jehanne d’Arc, car telle était la vraie orthographe de son nom, jeune bergère de 17 ans, traversa la France pour convaincre Charles VII de lui donner une armée.  En cela, elle obéissait à des « voix » qui l’exhortaient à accomplir une mission tout simplement considérée comme  impossible : délivrer Orléans, chasser les anglais hors du royaume, et faire sacrer Charles VII roi de France à Reims. Impensable ! Inimaginable !!

En nom Dieu, gens d’armes batailleront, et Dieu donnera la victoire…Jehanne d'Arc, dite la Pucelle

Et l’impensable survint pourtant : Jeanne atteignit le roi, et malgré l’extrême réserve de ce dernier,  le convainquit de lui donner l’armée demandée.  15 jours suffirent à Jeanne pour libérer Orléans, l’impossible était dores et déjà fait. De forteresses en places fortes, les anglais étaient mis en déroute. Les plus opiniâtres tombaient,  fuyaient les villes qui tombaient une à une, parfois sans même combattre, ou étaient tués.

Et en moins d’une année, Charles VII était conduit par Jeanne d’Arc à la cathédrale de Reims pour y être sacré roi de France !  Cependant, Jeanne fut prise cependant à Compiègne, par des Français du clan Bourguignon, allié aux Anglais. Elle fut vendue aux Anglais, et après un procès entaché de toutes les ignominies, fut brûlée vive à Rouen.

Jehanne, nous tous, Français, savons-nous bien ce nous te devons ?  Je crains que non… Incohérence de si peu de mémoire, entre les historiens abasourdis devant ton incroyable histoire, les hommes de science qui ont délibérément rayé le Ciel de leur savoir, et les médecins qui enferment d’autorité les schizophrènes, sans savoir qu’ils voient vraiment ce qu’ils disent voir, et qu’ils sont en réalité des médiums… J’ai honte pour nous.

Bouddha

Certains êtres, d’une sagesse sans pareille à celle que nous trouvons généralement autour de nous ont traversé l’histoire de la Terre, laissant derrière eux des Enseignements d’une très haute valeur morale. Bouddha fut l’un d’eux.

Le mot Bouddha signifie : « L’Éveillé », ce qui correspond à un état de conscience supérieur et à l’abolition de l’égo, en relation avec les plans plus élevés que ceux de notre plan terrestre. Ce n’est donc pas un titre honorifique, mais un état respecté pour la sagesse de Celui qui l’a atteint.

Siddhãrtha Gotama, dit Çakya Muni, fut cet Être nommé Bouddha. Voici l’un de ses Enseignements donné pour des personnes qui doutaient. On ne peut faire plus simple, ni plus limpide…

Un jour que Siddhartha Gautama (Bouddha) passait dans un village, les villageois s’approchèrent de lui et lui dirent : « Seigneur, plusieurs maîtres viennent dans notre village et nous donnent divers enseignements. Un jour l’un d’entre eux nous enseigne quelque chose, quand le lendemain, un autre maître nous enseigne autre chose de différent, quand ce n’est pas tout simplement contradictoire…

Ces maîtres passent les uns après les autres et nous délivrent des enseignements qui instillent le doute et la confusion dans nos âmes de sorte que nous ne savons plus juger le vrai du faux. Ainsi, nous doutons, hésitants et incertains sur la conduite à tenir afin de nous diriger sur le chemin lumineux et de nous écarter du mal.

Et Bouddha leur répondit :
« Il est normal que vous doutiez, puisque vous avez reçu des enseignements en contradiction les uns avec les autres.
Cependant, je vous dis ceci :
– Ne croyez pas une chose simplement parce qu’elle vous a été transmise par la tradition. – Ne croyez pas une chose simplement parce que vous la trouvez dans des livres. Les livres contiennent des choses bonnes et mauvaises, mais comment pouvez-vous les reconnaître?
– Ne croyez pas une chose aveuglément parce qu’un maître vous l’a enseigné, parce que lui aussi peut se tromper parfois.
– Ne croyez pas une chose parce que vous l’avez entendue ici ou là d’une rumeur.
– ET MÊME CE QUE JE VOUS DIS, NE LE CROYEZ PAS. Quoi que vous entendiez, vérifiez-le et essayez de l’expérimenter.  
Ceci est la façon d’enseigner du bouddha.

Les analyses géobiologiques

Une analyse géobiologique permet de situer la nature les problèmes qui affectent les personnes et les demeures.

De tels problèmes se révèlent par des symptômes souvent indéfinissables, qui affectent le plus souvent et en premier lieu votre sommeil, mais pas seulement. Le chapitre « Des effets très concrets » vous en dira plus sur ces symptômes.

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Des effets très concrets                   

Les informations nécessaires          

L’analyse géobiologique                   


Des effets très concrets

Les problèmes qui doivent vous alerter se décèlent notamment par des perturbations du sommeil, une sorte de mal-être, ou des maux de tête trop fréquents. Ces effets sont les plus souvent perçus, mais ils sont loin d’être les seuls, et l’on peut parfois ressentir qu’un certain nombre de choses ne tournent « pas rond ». Le lien ci-dessous vous présente un aperçu de ces effets géobiologiques…


Les informations nécessaires

Pour toute analyse :
–  les noms, prénoms et dates de naissance des personnes habitant à l’adresse considérée
–  l’adresse de la demeure où habitent ces personnes
–  une adresse mail et un numéro de téléphone pour que je puisse vous joindre

Selon les cas, un plan de votre habitation pourra m’être utile pour compléter l’analyse, mais alors je vous le demanderai.


L’analyse géobiologique

Après un premier contact où vous m’aurez expliqué les problèmes qui vous affectent, j’effectue une analyse géobiologique des personnes et de la demeure, portant sur les perturbations telluriques et « paranormales », ainsi que sur la sensibilité de ces personnes. Il n’existe aucune limite de distance pour ces analyses.

Pour ceux qui se demandent comment une telle chose est possible :

    

Ensuite de quoi :
–  vous désirez qu’une neutralisation soit faite et je la fais,
–  ou pour des raisons qui vous sont propres, vous ne désirez pas donner suite et aucune question ne vous sera posée, ni aucune justification demandée.
Dans les deux cas vous ne me devrez rien.

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Les neutralisations géobiologiques

Une neutralisation géobiologique permet à votre maison de redevenir un lieu équilibré, propice à une bonne santé, au repos, et à la paix.

Car si la Géobiologie permet d’analyser et de détecter de nombreux problèmes, elle permet surtout de les neutraliser !  La disparition des nuits agitées, des cauchemars, et le retour à un sommeil réparateur, sont souvent les premiers effets visibles d’une neutralisation qui se met en place.

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Différents types de neutralisations               

Le pouvoir de l’Esprit                       

Les neutralisations                           


Différents types de neutralisations

Il existe de multiples façons de faire des neutralisations physiques : positionner des barres de cuivre dans le sol ou des harmonisateurs dans votre demeure, se servir de bols tibétains, ériger un menhir à proximité de votre maison…  la liste est sans doute longue !
Néanmoins, attention à ne pas faire tout et n’importe quoi sur la base d’anciennes croyances, car certaines pratiques peuvent plutôt aggraver les choses, telles que tenter d’assainir la maison avec de l’encens ou de la sauge, ou mettre du sel dans les coins des pièces. Se servir de cristaux peut être efficace à condition de bien maîtriser le sujet, et je doute qu’une étude comme celle-là puisse s’acquérir en quelques heures, ni même en quelques jours ou quelques semaines…

Certains de ces moyens peuvent toutefois s’avérer contraignants : les cristaux doivent être déchargés régulièrement sous peine d’accentuer les problèmes au bout de quelques temps, planter des barres de cuivre dans le sol n’est pas toujours possible, particulièrement en appartement, certains harmonisateurs nécessitent des orientations à ne modifier sous aucun prétexte, quant aux menhirs, leur « mode d’emploi » n’est peut-être pas à la portée de tout le monde, et en tout cas pas à la mienne.

Pour toutes ces raisons, je me suis tourné vers une autre solution : le pouvoir de l’Esprit.


Le pouvoir de l’Esprit

Le pouvoir de l’Esprit est si infiniment simple qu’il nous échappe généralement. Nous connaissons pourtant tous cette expression : « C’est l’intention qui compte… ». Ceci est bien plus exact que ce que la plupart d’entre nous ne l’imaginent…!
Un exemple : combien de fois avez-vous souhaité appeler un correspondant, quand 2 minutes plus tard, c’était précisément lui qui vous appelait ?
Et avez-vous remarqué combien la colère, la rancœur, et l’avarice, ne produisent pas du tout les mêmes effets sur les êtres que la bonté, le pardon, et la charité… ?

L’explication est simple : notre pensée est créatrice. Dans le cas de l’appel téléphonique, votre pensée a atteint votre correspondant, et si celui-ci était suffisamment libre et réceptif, votre pensée lui a suggéré de vous appeler.
C’est exactement comme ça que je procède pour les neutralisations. J’émets des intentions vers les personnes et les demeures concernées. Le délai de réaction des personnes à ces neutralisations est fonction d’au moins deux choses : de ma connaissance qui n’est hélas ni infaillible ni infinie, et souvent du filtre mental des personnes considérées.

Les bébés, les jeunes enfants, les animaux, n’intercalent aucun filtre mental, aucun préjugé, entre  ces neutralisations et eux.  Ils seraient d’ailleurs bien en peine de le faire, car la plupart du temps, ils ne savent tout simplement pas ce qui se fait pour eux. Aussi leurs réactions aux neutralisations sont-elles parfois tout simplement extraordinaires, les choses pouvant s’améliorer(toujours parfois) le jour-même.

Les adultes ayant tendance à attendre de voir pour croire, peuvent raisonnablement espérer entre 1 et 5 jours pour en ressentir les effets.



Les neutralisations

La Géobiologie fonctionne à distance, tout comme le Reiki, le Magnétisme, et bien d’autres disciplines. Il n’existe aucune limite géographique aux neutralisations. C’est ainsi que des analyses et des neutralisations ont pu avoir lieu un peu partout en France, à la Réunion, en Inde, en Afrique, aux Pays-Bas… L’article ci-dessous vous donnera les explications de cet extraordinaire phénomène :

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L’intrication quantique – l’expérience

Le phénomène d’intrication quantique, c’est-à-dire le fait que 2 particules puissent avoir un lien privilégié, avait été imaginé depuis les années 1930.

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L’expérience d’Aspect                          

Quand les statistiques défaillent          

Une application fonctionnelle                 


L’expérience d’Aspect

Einstein, Bohr, et bien d’autres physiciens présents sur la photo ci-dessous étaient à l’origine de la théorie de l’intrication quantique, théorie qui restait entièrement à démontrer car les instruments de l’époque ne permettaient pas de vérifier de telles idées…

Le congrès organisé par Solvay en 1927 réunit les meilleurs physiciens de l’époque : Einstein, Bohr, De Broglie, Schrödinger, Planck, Marie Curie...

Des années et des décennies s’écoulèrent, jusqu’en 1983…

La technologie ayant largement évolué, un physicien, M. Alain Aspect,  prépara à Paris une expérience décisive pour mettre en évidence l’intrication quantique. Cette expérience était un véritable tour de force, car malgré les progrès de la science, elle restait d’une complexité inouïe à mettre en œuvre.

Voici en quelques mots à quoi ressemblait cette expérience :

Dans un laboratoire, un atome unique a été isolé. Une décharge d’énergie laser est envoyée sur cet atome, qui réagit vivement en émettant  2 photons qui filent à la vitesse de la lumière dans deux directions diamétralement opposées. La chose était prévue, et  deux appareils sophistiqués attendent de pied ferme chacun de ces 2 photons, en vue de les analyser

Un analyseur capable de mesurer la valeur de spin des particules telle que des électrons ou des photons

Ces deux photons, émis exactement en même temps par un seul atome, se trouvent dans le fameux état intriqué et sont donc des jumeaux quantiques.

Chacun de ces photons est caractérisé par une valeur appelée spin, qui peut prendre comme valeur 1 ou -1.  Pour imager la chose, c’est comme si un photon pouvait s’habiller en noir ou en blanc.

Le spin étant réputé parfaitement aléatoire et imprévisible, il était donc statistiquement possible qu’un des deux photons émis par l’atome-mère  soit habillé en noir, pendant que son jumeau serait habillé en blanc.  Une chance sur  deux…

Un technicien en combinaison étanche effectue des analyses en atmosphère contrôlée

Et c’est exactement ce qui n’arriva pas.


Quand les statistiques défaillent

Analyse après analyse, systématiquement, quand l’un des photons-jumeaux était habillé de noir, l’autre était également habillé en noir. Idem pour le blanc… Devant les chercheurs médusés, les statistiques vacillaient.

Un chercheur étudie des listes interminables d’informations, prémices des extraordinaires conclusions liées à l’intrication quantique

L’expérience fut poussée à ses limites, recommencée autant de fois que nécessaire, et finalement,  l’extraordinaire conclusion tomba : «Quelque soit la distance qui sépare deux particules intriquées, elles interagissent instantanément l’une sur l’autre »

Bon, avouons que présenté comme ça…  Et pourtant, cette conclusion a juste mis à l’envers la tête des physiciens du monde entier ! Et franchement, il y avait de quoi, car tout est dans la signification des mots…

Des conséquences impressionnantes !

Revenons donc aux mots…

Par le terme « interagir », il faut comprendre « communiquer». Ainsi, nos photons-jumeaux communiquent entre eux… Ça n’a l’air de rien comme ça, mais imaginez quand même que ces particules si infiniment minuscules, à l’extrême limite de la matière (les physiciens ne sont pas encore sûrs que c’en soit…) s’échangent au moins une information !

une énorme parabole radar, permettant de recevoir et communiquer des informations à l’échelle du système solaire

Alors que certains pensent encore que la capacité de communication est  exclusivement réservée à l’homme et à son cerveau, ce phénomène ramène à un peu d’humilité…

Sur le plan pratique, nos 2 photons-jumeaux étant intriqués, connaître le spin d’un de ces photons (donc la couleur de son costume), c’est connaître immédiatement la couleur du costume de son jumeau.

Ça vous paraît un peu juste pour déboucher le champagne ?  Alors continuons…

Quand nous lisons  « quelque soit la distance qui les sépare », nous imaginons nos deux photons-jumeaux près ou loin l’un de l’autre. Mais pour les physiciens, ce « quelque soit »  signifie que cette distance peut être de l’ordre de quelques dixièmes de millimètres  ou de plusieurs milliards de kilomètres !

Ceci signifie que si l’un de nos jumeaux intriqués était sur Terre, et l’autre sur la planète Pluton, aux confins de notre système solaire,  ils pourraient malgré tout échanger des informations.

La Terre en premier plan, et au loin, la planète Pluton naviguant aux confins du système solaire

Informations qui pourraient être la température, par exemple… Si le spin du photon sur Pluton est affecté par la température qu’il fait là-bas, l’autre resté sur Terre le sera aussi, et les physiciens pourraient avoir accès à la météo de Pluton.

Voilà qui est déjà un peu mieux, non ?  Mais ce n’est pas fini…

Pour nous, « instantanément » signifie vraiment très vite, et ce n’est déjà pas si mal. Mais en langage de physicien, « instantanément » signifie que la vitesse de la lumière, qui  est quand même actuellement chronométrée à 300 000 kilomètres par seconde ( 7 fois le tour de la Terre en moins d’une seconde…) et qui est (était) considérée comme une limite de vitesse absolue, vient de prendre une sacrée claque !  Larguée… Défaite à plate couture… Aux fraises, quoi… !

Pour bien se représenter les choses, il y a à peu près la même différence entre « l’instantanément » des photons intriqués et la vitesse de la lumière,  qu’il peut y en avoir entre une balle de fusil  et un escargot !

une illustration de la différence fondamentale entre la vitesse de la communication quantique et la vitesse de la lumière

En vérité, la seule chose qui puisse filer aussi vite que cet « instantanément-là », c’est notre pensée.  Et vous verrez que tout comme les photons intriqués, elles en font des choses, ces pensées !

Liens neutralisations

Et enfin, une dernière surprise : le « comment » de la communication de ces particules est pour le moment un mystère absolu pour les physiciens…

Mais l’enseignement spirite, décidément trop peu considéré par la Science officielle, a fourni des informations sur la nature de cette communication, et les a même pas mal détaillées !  Cette communication provient des ondulations de l’éther, ce milieu immatériel déjà décrit par les grecs et les romains plusieurs siècles avant notre ère, et qui posa quelques soucis à Einstein.

Pour ceux qui seraient intéressés, eh bien il me faudra me laisser le temps de regrouper et mettre en forme ces  informations, car il y en a beaucoup !


Une application fonctionnelle

Trouver des applications potentielles à  l’intrication quantique et aux vertigineuses possibilités d’une communication instantanée n’est pas un souci : les scientifiques ont des rêves plein leurs cartons.

Mais maîtriser techniquement le phénomène, voilà leur vrai défi. Hors, l’intrication quantique n’a pas attendu sa découverte par la Science pour se mettre à exister, et il est donc vraisemblable qu’elle servait « à quelque chose » !…

Eh bien, toutes les disciplines qui se servent de l’action à distance, la Géobiologie, le Magnétisme, le Reiki, le Spiritisme,  sont des applications fonctionnelles de l’intrication quantique, connues et accessibles depuis des temps immémoriaux… Et des milliers de personnes se servent de ce phénomène tous les jours, et le plus naturellement du monde.

Alors vous savez quoi ?  Je crois que scientifiques et géobiologues auraient bien des choses à se dire…

L’intrication quantique – le travail à distance

Le travail à distance largement utilisé par la Géobiologie trouve son explication dans  un phénomène scientifique incroyable : l’intrication quantique.

Ce phénomène fut prouvé dans les années 1980, laissant les scientifiques totalement abasourdis par la portée de ce qu’ils avaient découvert, et dont vous allez pouvoir juger de l’étendue…

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Un phénomène extraordinaire                     

Des conséquences impressionnantes          

Une application fonctionnelle                       


Un phénomène extraordinaire

L’intrication quantique… Il faut bien reconnaître que ces mots font mal aux cheveux juste en les prononçant. Et pourtant, derrière ces mots, se cache une idée aussi simple qu’extraordinaire…

Voici la définition scientifique de l’intrication quantique : « Un phénomène dans lequel deux particules ont des états quantiques dépendant l’un de l’autre, quelle que soit la distance qui les sépare ».

Mais commençons par le commencement, et quelques menues explications…

Un rideau s’ouvre sur la corrélation entre l’intrication quantique et la Géobiologie, permettant une explication du très controversé travail à distance

L’intrication :

L’intrication définit un état enchevêtré, entremêlé, ou connecté. Faisons un parallèle avec des jumeaux, ou avec des jumelles, c’est plus joli…

Chez les jumelles ou jumeaux, il est courant que leurs pensées soient si étroitement liées, que même loin l’une de l’autre, on pourrait les croire « connectées ». Une telle relation est qualifiée « d’intriquée ».  L’exemple est d’ailleurs tellement parlant qu’il est utilisé par les physiciens pour imager le phénomène de l’intrication quantique…

Quantique :

Quantique vient de quantum, qui signifie « une quantité déterminée de quelque chose ».
Lorsque les physiciens utilisent ce terme,  ils parlent d’une toute petite quantité, de l’ordre de 1 atome, ou de 1 particule de cet atome, telle que 1 électron ou 1 photon !

Ces particules sont si infiniment petites qu’elles sont absolument invisibles à nos yeux. Il faut des appareils ultra-sophistiqués pour espérer en entr’apercevoir une, et encore n’en détecte-t-on que sa trace.

Une particule infiniment petite dans un état intriqué peut communiquer avec une particule jumelle

L’état quantique d’une particule est défini par son « spin », une valeur binaire (1 ou -1)  considérée comme hautement aléatoire, qui permet théoriquement de différencier 2 particules entre elles

L’intrication quantique :

L’intrication quantique désigne donc un état très particulier de la matière, où deux infimes particules vont se comporter comme des jumelles. Chacune va être dépendante de ce que fait l’autre, quelque soit la distance qui les sépare ; il peut s’agir de quelques mètres ou de milliards de kilomètres !

Pour couronner le tout, cette connexion  se fait instantanément, c’est à dire infiniment plus vite que la vitesse de la lumière (300 000 kilomètres par seconde), pourtant considérée jusque là comme une limite absolue.

Pour bien se représenter les choses, il y a à peu près la même différence entre « l’instantanément » de l’intrication et la vitesse de la lumière,  qu’il peut y en avoir entre une balle de fusil  et un escargot !

La seule chose qui puisse filer aussi vite que cet « instantanément-là », c’est notre pensée…

Pour ceux qui voudraient savoir comment les choses ont été techniquement mesurées, le lien ci-dessous développe l’expérience qui mit en évidence l’intrication quantique :


Des conséquences impressionnantes

Pourquoi cet état intéresse tant les physiciens ?  Parce que  les conséquences de ce comportement font entrevoir des possibilités quasi-miraculeuses… Au rang de ces possibilités, les communications instantanées font rêver les scientifiques…

Des ordinateurs quantiques ultra-rapides :

De tels ordinateurs seraient utilisés pour faire des calculs pharaoniques en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.  Car malgré les incessants progrès des processeurs, la plus puissante des machines actuelles passerait pour une tortue rhumatisante à côté de ce qui est espéré pour un ordinateur quantique.

Des communications instantanées :

Les astronomes en rêvent, et pour cause !  Pour exemple, un signal radio met au bas mot 12 minutes pour aller de la Terre vers Mars, et autant pour revenir. Pas franchement réactif, surtout quand un petit robot se promène sur Mars et que les techniciens s’aperçoivent qu’il va dans la mauvaise direction…

Ainsi, le temps que les images du robot arrivent à la NASA, que les techniciens lui ordonnent en catastrophe de stopper, et que le robot reçoive enfin cet ordre, 24 interminables minutes se sont passées pendant lesquelles le petit robot a continué tout droit pour aller s’enliser dans des sables trop fins. Et les techniciens mettent ensuite des mois à tenter de le sortir de là, quand ils y arrivent !

Savoir ce qui se passe à l’autre bout de l’Univers :

Potentiellement, il deviendrait possible savoir ce qui se passe à l’autre bout de l’Univers,  sans avoir à envoyer des satellites hors de prix qui mettent plusieurs dizaines d’années pour « simplement » sortir de notre système solaire…


Une application fonctionnelle

L’intrication quantique existe depuis que le monde est monde, et il est hautement probable que les disciplines qui font appel au travail à distance, la Géobiologie, le Magnétisme, Reiki, Spiritisme…  soient des applications fonctionnelles de ce phénomène.

Un petit exemple ?

Début 2014,  je suis sollicité par une famille habitant La Réunion. Dans cette famille, un petit garçon de 3 ans qui, depuis tout bébé, ne peut pas dormir. Ses nuits ne sont que pleurs et insomnies. Après avoir consulté sans succès tout ce que l’île compte de spécialistes, les parents sont à bout de forces, et plus très loin de la crise de nerfs.

les perturbations géobiologiques n’épargnent nullement les habitations de cette ile paradisiaque

Une analyse effectuée depuis chez moi, à Villeurbanne, sur un plan de la maison où vit cette famille, montre que cette demeure est située sur une faille très virulente. Une neutralisation est faite, et la nuit suivante, l’enfant a enfin trouvé un sommeil profond…

un bébé dort profondément après qu’une correction géobiologique a été appliquée sur la maison de ses parents

Voyez-vous le lien avec l’intrication quantique ?

– L’analyse du plan (qui est une représentation de cette maison) m’a permis de faire l’analyse de cette maison située à la Réunion. Le plan est donc intriqué (connecté) avec la maison.

– La neutralisation, appliquée sur le plan, a entrainé la neutralisation de la maison. N’est-ce pas exactement ce qui est prévu et tant espéré par les physiciens à propos de l’intrication quantique ?

– Et enfin, entre La Réunion et le lieu où je travaille : 9 000 kilomètres, soit 12 heures d’avion. Ce n’est pas encore l’autre bout de l’Univers,  mais ce n’est déjà pas si mal, non ?

Voilà, c’est fini…  Si une meilleure explication devait expliquer les détections et actions à distance que les géobiologues, magnétiseurs, radiesthésistes, guérisseurs, leveurs de feu, praticiens Reiki, et j’en oublie certainement, pratiquent tous les jours et dans le monde entier, alors je serai prêt à l’écouter avec beaucoup d’attention !

Mais si un physicien ou une physicienne acceptait de tourner ses instruments vers la Géobiologie, alors je serai très heureux de collaborer à ses recherches. Dans l’intervalle, vos réactions sur le sujet sont les bienvenues !

La survivance de l’âme

Tout est contenu dans ces 4 petits mots : la survivance de l’âme,  et nous voici devant le plus colossal sujet que nous devrions tous connaître…

Chose qui se traduit encore plus simplement par : notre âme est immortelle !  Ceci peut surprendre, interloquer, choquer, mais de multiples indications tout autour de nous montrent avec une grande netteté que les faits sont là, même si je vous accorde que ça fait quand même un joli pavé dans la mare…

Et maintenant, éclairons cette notion de mille feux !…

Cette page ne prétend pas prouver à elle seule ce que vous allez y découvrir. Mais les suites qui en découlent éclairent et relient entre eux des faits classés un peu rapidement au rayon légendes et superstitions. Chaque article de la rubrique « Phénomènes paranormaux » de la page d’accueil est un élément du puzzle…

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Au-delà des apparences            

Un recul nécessaire                   

Les éléments du puzzle             

Aux réfractaires…                      


 

Au-delà des apparences

L’affirmation de la survivance de l’âme bouscule le dogme (*) qui fut malencontreusement mis en place par les scientifiques à l’époque où ceux-ci cherchaient avec raison à en écarter un autre : celui de l’Église.  Histoire sans fin du balancier, qui ayant été lancé trop loin d’un côté, s’en retourne trop loin de l’autre…

(*) Dogme : affirmation, thèse, opinion, émise sur le ton de la certitude absolue, et imposée comme une vérité indiscutable. C’est ce qu’instaura l’Église sur bien des points, et en de multiples périodes.

L’article ci-dessous vous montrera comment les choses se sont enchainées, éteignant ce savoir millénaire dans notre mémoire…

 

Pour comprendre et accepter l’immortalité de l’âme, il nous faut aller au-delà des apparences. Et pour cela, rien ne vaut mieux que de prendre du recul…


Un recul nécessaire

L’angle sous lequel nous regardons les choses est primordial. Car non seulement la survivance de l’âme est réelle, mais elle est de plus juste à portée de main, pour peu que l’on se donne la peine d’aller au-delà des apparences.

Si nous regardions une aile de papillon sous le fort grossissement d’un microscope, nous apercevrions la magnifique structure colorée de ses écailles, comme celle que nous voyonsci-dessous :

Mais si nous n’avions que cette seule image sous les yeux, bien des personnes ne devineraient pas de quoi il s’agit.  Et pour celles qui le sauraient, elles ne pourraient pas définir, à partir de cette seule observation, la forme du papillon.  Et il en serait exactement de même si nous observions sous le même grossissement, ses yeux, ses antennes, ou sa trompe… Pour aller plus loin dans notre connaissance de ce papillon, il nous faudrait prendre du recul, de la distance, et alors ce papillon nous apparaîtrait dans sa totalité…

Il en va exactement de même pour la survivance de l’âme ; les indices de l’immortalité ne sont apparents que si l’on sait quoi regarder, et avec suffisamment de recul.


Les éléments du puzzle

De même que pour papillon, quelques éléments épars sont tout à fait insuffisants à donner une idée exacte de l’image recherchée, c’est l’addition des observations, cumulée avec les faits, qui permet de se faire une idée de la survivance de l’âme.

Les éléments de ce puzzle sont nombreux. Chaque article de la rubrique «  Phénomènes paranormaux » en est l’une des pièces, dont la lecture vous permettra peut-être de vous faire votre propre idée sur la question.


Aux réfractaires…

Pour certaines personnes, le simple fait d’aborder l’immortalité de l’âme les rendent mal à l’aise, nerveuses, ou parfois goguenardes…  Impression qu’on cherche à les berner ?  Que certains se raccrocheraient à n’importe quoi pour trouver une raison de vivre ?   Quoi qu’il en soit, je fus moi-même réticent à ce que j’écris aujourd’hui. Réticence liée pour ma part à une méconnaissance totale de ce que je ne me donnais pas la peine d’aborder, ainsi qu’à une confiance aveugle en la Science, de même que certains peuvent avoir une confiance aveugle en l’Église.

La question de la survivance de l’âme se résumait pour moi à 2 possibilités :
– où bien, il n’y avait rien et tout ceci n’était que foutaises,  option que je tenais pour la plus probable,
– où bien il y avait quelque chose après la mort, mais alors il allait falloir me le prouver dur comme fer…

Après 10 ans de recherches sur le sujet, je crois pouvoir dire ceci :

Si vous pensez qu’il n’y a rien, je crains que vous aurez vécu et souffert pour rien.  Vous aurez éventuellement donné la vie à vos enfants, vous aurez essayé de les rendre le plus heureux possible, de faire à votre mesure le bien autour de nous, et tout ça pour continuer une chaine accrochée nulle part et qui ne va dramatiquement nulle part, puisque chaque maillon avant et après vous disparaîtra irrémédiablement.

Nous ne serions donc que des formes de vies lancées dans un univers sans raison et sans but, issu d’une explosion inexplicable ?  Guère de différence au final avec ces insectes qui ne naissent que pour se reproduire et mourir en une seule journée.  Sinistre constat…

Mais il y a pire : avez-vous pensé aux personnes nées handicapées ?…  La vie n’est-elle donc que cette insupportable injustice d’un assemblage d’atomes où le hasard préside de tout ?

Et enfin, une dernière question : pourquoi sommes-nous nés homme ou femme, plutôt que fleur, poisson ou oiseau ?  Pas fastoche, hein ?… Ceux qui auront répondu «  parce que c’est comme ça… »  savent au fond d’eux que quelque chose leur a échappé…  Car en fait, la réponse à cette question contient en elle-même tous les sujets et toutes les réponses relatives à la survivance de l’âme…!

Mais si nous examinons l’autre possibilité, s’il devait y avoir quelque chose après la mort, si notre âme est immortelle, alors nous pouvons nous dire que notre vie aura très probablement eu un sens, car on se doute qu’un tel deuxième miracle ne puisse pas arriver par hasard.

Un deuxième miracle ?  Oui, deuxième, car le premier est justement cette supposée explosion primordiale qui a miraculeusement créé la Vie sous tant de formes…

Quelqu’un aurait-il déjà penser à calculer les probabilités qu’à partir de cette explosion, les atomes se soient assemblés comme ils l’ont fait, selon des lois qui leurs sont propres, créant ainsi toutes les conditions nécessaires à l’organisation de la matière en planètes, soleils, et galaxies, et qu’enfin, cette matière puisse évoluer en des multitudes d’êtres capables de penser et  de se reproduire ?   Une chance sur une infinité de quintilliards ?

Je ne prétends nullement que mes connaissances soient complètes, ce serait une inconcevable suffisance. Néanmoins, mes recherches ont convergé vers de très puissants faisceaux de présomptions, qui épaulés par la pratique, tendent tous vers la même conclusion :  Nous sommes immortels, ça ne fait pas un pli…

Je livre à votre sagacité ce que disent les Esprits : « Tout effet intelligent a une cause intelligente ».   Et je vous laisse à toutes fins utiles le témoignage de comment les choses ont commencé pour moi, un jour où j’ai trouvé ce que je ne cherchais pas…

   

Galilée

Nous sommes en 1609, et Galilée vient de mettre au point son premier modèle de lunette astronomique. Il n’en est pas l’inventeur,  mais c’est bien lui qui va la tourner vers le ciel pour s’en servir comme d’un instrument d’observation systématique des planètes et des étoiles.

Dans sa légitime recherche de la Vérité, Galilée va être un des premiers à remettre en cause la science de l’Église. Involontairement, sa quête donnera le signal de la remise en cause de la Spiritualité

A cette époque, la science était sévèrement bordée par l’Église, et la théorie officielle ressemblait peu ou prou à ceci :   » la Terre est sphérique, immobile au centre de l’Univers, et le soleil et les étoiles tournent autour d’elle « .   Quelques années auparavant, la Terre était tenue pour plate et bordée par les enfers. Comme quoi tout progresse…

Dans les faits, et en tenant compte des postulats précédents, les trajectoires apparentes des planètes présentaient des caractéristiques pour le moins étranges… Leur progression dans le ciel faisait apparaître des phases d’arrêt, puis de recul, puis à nouveau de reprise de leur marche en avant.

Pour un scientifique de la trempe de Galilée, tout entier tourné vers la nature,  médecin, mathématicien, scientifique et inlassable curieux, cette vision du ciel ne peut tout simplement pas être.

De ses recherches sur le centre de gravité des solides, Galilée sait mieux que quiconque qu’un objet lancé tourne autour de son centre de gravité, et ne revient JAMAIS en arrière. L’explication du mouvement de ces planètes donc doit être nécessairement plus simple.

C’est d’ailleurs l’un des principes fondamentaux de la Science : « De deux théories existant pour expliquer un même phénomène, la plus simple est toujours la meilleure ».  Sage principe, mais ô combien peu respecté de nos jours.

Et Galilée tourne sa lunette vers les profondeurs de la nuit…


Sa première lunette ne grossit que… 3 fois ! (il fera mieux plus tard, poussant le grossissement jusque 30 fois). Mais Galilée est méticuleux, et patient. Il observe le ciel nocturne, mesure et consigne tout, calcule les relations entre les astres… et publie un livre dans lequel il défend la théorie de Copernic : la Terre n’est pas le centre de l’Univers, elle tourne autour du soleil, comme les autres planètes visibles.

Une opposition farouche

Le pape Urbain VIII, dont Galilée est l’ami, veut bien accepter une présentation neutre des deux théories, l’officielle basée sur le géocentrisme (Terre au centre), et celle héliocentrique (Soleil au centre…) que défend Galilée.  Mais pas  ce véritable plaidoyer où Galilée lamine la théorie géocentrique soutenue par l’Église !

Mais Galilée s’obstine… Sa théorie crée un véritable tollé.  De multiples attaques sont déclenchées contre ses travaux et lui-même,  par les gardiens de la théorie du géocentrisme. Mais sans grands effets, car les observations et les explications de Galilée tiennent la route !

 «  Monsieur Galilée, comptez-vous à présent ré-écrire la Bible afin de la faire correspondre à vos théories ? » 

C’est l’Église qui s’exprime ainsi. La question est doucereuse, mais le danger est grand, très grand, et Galilée le sait parfaitement. Car au-delà de la question d’astres se déplaçant dans le ciel, ce sont les fondements que l’Église s’était donnés qui sont menacés. Et l’Église est toute puissante !  Et l’Inquisition est là pour le rappeler aux imprudents qui l’ont oublié…

L’Inquisition lui laissera le choix : abjurer ses découvertes, ou être déclaré hérétique. Et ça brûle très bien, un hérétique !

Et Galilée abjura…

« Moi, Galileo Galilei, fils de feu Vincent Galilée, Florentin, âgé de 70 ans, constitué personnellement en jugement, et agenouillé devant vous, Éminentissimes et Révérendissimes Cardinaux de la République Universelle Chrétienne, Inquisiteurs généraux contre la malice hérétique, ayant devant les yeux les Saints et Sacrés Évangiles, que je touche de mes propres mains, je jure que j’ai toujours cru, que je crois maintenant, et que, Dieu aidant, je croirai à l’avenir tout ce que tient, prêche et enseigne la Sainte Église Catholique et Apostolique Romaine;

Mais parce que ce Saint Office m’avait juridiquement enjoint d’abandonner entièrement la fausse opinion qui tient que le Soleil est le centre du monde, et qu’il est immobile; que la Terre n’est pas le centre et qu’elle se meut; et parce que je ne pouvais la tenir, ni la défendre, ni l’enseigner d’une manière quelconque, de voix ou par écrit, et après qu’il m’avait été déclaré que la susdite doctrine était contraire à la Sainte Écriture, j’ai écrit et fait imprimer un livre dans lequel je traite cette doctrine condamnée, et j’apporte les raisons d’une grande efficacité en faveur de cette doctrine, sans y joindre aucune solution; c’est pourquoi j’ai été jugé véhémentement suspect d’hérésie, pour avoir tenu et cru que le Soleil tait le centre du monde et immobile, et que la Terre n’était pas le centre et qu’elle se mouvait.

C’est pourquoi, voulant effacer des esprits de vos Éminences et de tout chrétien catholique cette suspicion véhémente conçue contre moi avec raison, d’un cœur sincère et d’une foi non feinte, j’abjure, maudit et déteste les susdites erreurs et hérésies, et généralement toute autre erreur quelconque et secte contraire à la susdite sainte Église; et je jure qu’à l’avenir je ne dirai ou affirmerai de vive voix ou par écrit, rien qui puisse autoriser contre moi de semblables soupçons; et si je connais quelque hérétique ou suspect d’hérésie, je le dénoncerai à ce Saint Office, ou à l’inquisiteur, ou à l’ordinaire du lieu où je serai. Je jure en outre, et je promets, que je remplirai et observerai pleinement toutes les pénitences qui me sont imposées ou qui me seront imposées par ce Saint Office; que s’il m’arrive d’aller contre quelques-unes de mes paroles, de mes promesses, protestations et serments, ce que Dieu veuille bien détourner, je me soumets à toutes peines et supplices, par les Saints canons et autres constitutions générales et particulières, qui ont été statués et promulgués contre de tels délinquants.

Ainsi, Dieu me soit en aide et ses saints Évangiles, que je touche de mes propres mains. Moi, Galileo Galilei susdit, j’ai abjuré, juré, promis, et me suis obligé comme ci-dessus; en foi de quoi, de ma propre main j’ai souscrit le présent chirographe de mon abjuration et l’ai récité mot à mot à Rome, dans le couvent de Minerve, ce 22 juin 1633. Moi, Galileo Galilei, j’ai abjuré comme dessus de ma propre main. »

Malgré les apparences, l’Église venait de mettre un genou à terre. La Théorie de Galilée allait l’emporter haut la main quelque années plus tard.

Dans sa chute, et par ses innombrables fautes, l’Église allait entrainer la spiritualité, privant les connaissances associées de tout fondement. Le savoir ancestral n’allait pas y résister.

Le modèle géocentrique fut définitivement abandonné vers 1750.

La disparition du savoir

La Géobiologie est une science très ancienne dont le savoir a été perdu, non par accident, mais par la destruction de ceux qui savaient…

Cette page est une hypothèse basée sur ce que j’ai pu lire et déduire de mes recherches. Je ne prétends pas détenir la vérité, mais le déroulement des faits me semble cohérent. Si d’autres informations venaient apporter des éléments nouveaux, j’en tiendrai compte pour coller au plus près d’une possible vérité…

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Les prémices du déclin        

Premier acte : an 1307        

Deuxième acte : Galilée       

Dernier acte : la Science       


Les prémices du déclin

Nous sommes à la fin du 12ème siècle… Les églises étaient alors des lieux de soins particulièrement élaborés du point de vue  géobiologique, et pour ceux qui ont cette connaissance, les églises romanes du 12ème et 13ème siècle encore debout l’attestent sans l’ombre d’un doute. Les bâtisseurs de ces édifices, dont faisaient partie les Templiers, culminaient alors au sommet de leur art. Leurs connaissances en terme de Géobiologie surpassaient de très loin ce que nous savons aujourd’hui.

 

L’Ordre des Templiers… En 1300, cet ordre n’avait que faire de l’Église romaine, dont il considérait, non sans quelques raisons, qu’elle s’était très largement éloignée de ses fondements.  « L’arrogance » des Templiers face à l’Église passait très mal auprès de cette dernière. En Albi notamment, les Templiers éduquaient la population, soignaient, aidaient, et les prêtres voyaient leur influence très diminuée.

Ceci ne plaisait ni à l’Église, en tout premier lieu, ni au Roi de France Philippe le Bel, qui craignaient cette puissance qu’ils considéraient comme un danger inquiétant. Les Templiers passaient pour avoir des connaissances immenses, une puissance colossale, et le bruit courait qu’ils disposaient d’une formidable fortune…

L’Église et le roi décidèrent que cette situation devait cesser. Le déclin des Templiers et de leur savoir allait être brutal.

 


Premier acte : an 1307

En une seule journée, la quasi-totalité des Templiers furent arrêtés et mis entre les mains de la terrifiante Inquisition, inquisition qui ne fit pas le détail…  En déclarant tous les Templiers hérétiques, elle entreprit de les faire disparaître. En ce temps-là, les bûchers éclairaient la France.

Le coup d’arrêt fut terrible, et l’antique savoir dissimulé par ceux qui le détenaient encore.  Faire valoir de telles connaissances était devenu extrêmement dangereux. Les indispensables sourciers, et les inestimables alchimistes (les pharmaciens d’alors), furent peut-être parmi les rares détenteurs à ne pas (trop) avoir à se cacher.

Les « sorciers » qui n’étaient autres que les détenteurs d’une partie de ce savoir, payèrent quant à eux le prix fort. L’Inquisition carbonisait méthodiquement, et à tour de bras.

C’est ainsi qu’une chape de plomb s’abattit sur l’avenir de la France, chape qui perdura plusieurs siècles. Période sombre qui allait mener ni plus ni moins à la quasi-disparition de ce savoir immémorial que représentait la Géobiologie appliquée aux édifices, aux symboles, aux Esprits, et aux soins des personnes.
Ceci allait mener à bien des errements dont nous ne sommes pas encore sortis…

Mais le calvaire du savoir n’était pas encore terminé, car un autre acte attendait son heure. Il attendit 300 ans…


Deuxième acte : Galilée

300 ans plus tard donc,  en 1623, Galilée tournait sa lunette astronomique vers les étoiles.

Son but : observer, bien sûr, mais pour la première fois,  se servir d’une lunette comme d’un instrument de mesure. Ce fut le succès que l’on sait, qui lui permit de confirmer ce que d’autres avant lui avaient déjà observé : la Terre n’était pas le centre de l’Univers…

Dans le combat qui opposa Galilée à l’Église, l’observation visuelle avait pris le pas sur la spiritualité, du moins sur ce qu’il en restait dans l’Église. Et pour ce qu’il restait du savoir, le coup de grâce allait arriver par les défenseurs de la vérité eux-mêmes…


Dernier acte : La Science

Ce troisième acte, lui, ne tarda pas à arriver. Il ne fallut en effet pas attendre très longtemps pour que d’autres savants  finissent par prouver  que Galilée avait eu raison.

En 1687, Isaac Newton, philosophe, mathématicien, physicien, alchimiste, astronome et théologien, publiait son œuvre  Philosophiæ Naturalis Principia Mathematica  (Principes mathématiques de la philosophie naturelle) dans lequel il décrivait les bases de  ses calculs de la gravité, appelée à l’époque « Attraction Universelle ».

Pour la première fois, des calculs confirmaient mathématiquement la position centrale du soleil, ils sont d’ailleurs la base de toute l’astronomie moderne. La preuve était donc faite : la Terre tournait autour du soleil !

Et cela fit toute la différence. Il venait donc d’être prouvé par les savants de l’époque, si souvent mis à mal par les dogmes cléricaux, que l’Église s’était donc au moins fourvoyée sur un point.  Ses prétendues bases n’étaient donc pas divines, et dès lors, il apparut aux scientifiques que la seule vraie Science était la Science de l’observation. Et un corollaire aux funestes conséquences en résulta :  « … donc ce qui ne se voit pas n’existe pas… ».

Conclusion logique, mais fâcheuse,  car l’existence de plans supérieurs venait d’être reléguée au rang de mystification, et pour dire les choses autrement, le bébé venait de partir avec l’eau du bain.

La toute-puissance de l’Eglise venait de prendre une sacrée volée du plombs, et probablement, le lent déclin de la religion s’amorça à ce moment-là.

Dans le même temps, les restes de l’antique savoir furent balayés sous le tapis par ces nouveaux scientifiques. Le temps produisit ses effets, et les siècles qui continuaient leur lente progression finirent d’effacer les traces des antiques connaissances des mémoires, reléguant au rang de fables et de légendes  la compréhension du monde, les Invisibles qui nous côtoient, et le sens de  la Vie.

La Science ayant balayé le ciel de toute trace de spiritualité, plus rien ne retenait vraiment les hommes, qui asservirent la nature et la pillèrent sans retenue. L’oubli submergeant l’expérience, ils construisirent leurs maisons n’importe où, et n’importe comment.  Les conséquences profondes allaient tarder à se faire sentir, mais nous en mesurons aujourd’hui les terribles effets…

James Leininger

Le cas de James Leininger est un cas rare, le plus documenté auquel nous ayons accès, et qui à lui tout seul prouve la réincarnation

De tels cas, tout comme les médiums, sont des phares dans notre nuit, et qui de loin en loin, nous donnent une direction. Libre à nous de la suivre ou non.

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Des cauchemars                         

Visite aux armées                        

Epilogue                                      


Des cauchemars

James Leininger a vu le jour aux Etats Unis le 10 avril 1998, et à l’heure où j’écris ces lignes, il a donc 19 ans.

Depuis tout bébé, les nuits de James sont extrêmement agitées, et rien ne peut le calmer. Ce sont des choses qui arrivent… Mais à deux ans, James commence à parler, et ses parents découvrent que ces nuits si agitées sont le fait de cauchemars, et en vérité, d’un seul cauchemar récurrent : James rêve d’un avion en feu qui tombe, dont le pilote ne peut sortir.

Les années passent et le cauchemar perdure. James dessine à présent, et ses dessins ne sont que scènes de combats aériens, avions en flammes, balles traversant le ciel, explosions, hommes suspendus à leur parachutes…

Détail curieux, James signe ses dessins : James 3rd, c’est-à-dire James le troisième du nom. Curieux et inexplicable, car James est le premier à porter ce prénom dans sa famille…

Pour James, ce sera direction le psychiatre. Qui va s’apercevoir petit à petit que ce qu’il entend est loin d’être une simple histoire d’imagination enfantine. Car au fil du temps, « l’histoire » de James ne fait que s’étoffer de détails, de noms, de dates, le tout dans une apparente cohérence pour le moins stupéfiante.

 

C’est ainsi que James prétend avoir été un pilote de chasse américain pendant la seconde guerre mondiale. Il dit avoir fait partie de l’équipage d’un porte avion américain croisant dans l’océan Pacifique au large des îles japonaises. Il aurait décollé pour une nième mission avec une escadrille de 20 avions « Corsairs », et il serait le seul à ne pas être rentré, abattu par un chasseur Japonais « Zéro »…

L’avion de chasse américain « Corsair », l’un des plus puissants de l’époque
L’avion de chasse japonais Mitsubishi « Zéro », extrêmement maniable

Parallèlement à ceci, James est irrésistiblement attiré par les avions de la seconde guerre mondiale. Il « emmène» ses parents à tout ce que les Etats Unis comptent de meetings aériens et de musées. Et depuis qu’il est en âge de parler, il démontre à propos de ces avions des connaissances tout à fait hors de proportion avec ce qu’il a pu voir ou entendre à leur sujet.

Au sujet de l’avion Corsair particulièrement, ses connaissances sont proprement époustouflantes. Le Corsair était caractéristique par ses ailes en forme de W, et avait été rendu universellement célèbre par le feuilleton « Les têtes brûlées » de la fin des années 1970.

Dans un meeting donc, passant devant un Corsair, James dit à sa mère : « Tu vois maman, sur cet avion, les pneus se dégonflaient tout le temps… »  Le petit James Leininger est extrêmement bien informé ; car si ce détail est fort peu connu, il est néanmoins parfaitement exact : sur ces avions particulièrement lourds, les pneus supportaient mal les chocs dû aux appontages, et les mécaniciens étaient obligés de les regonfler après chaque mission.

 


Visite aux armées

Devant la cohérence des propos de James et la persistance de ses cauchemars, le psychiatre propose à ses parents de prendre rendez-vous avec le Ministère des Armées, afin d’accéder – si possible – aux archives militaires. Le but : démonter les fondements de l’impossible histoire racontée par James, et créer une réaction salutaire, censée débarrasser l’enfant de ses cauchemars. Ce qui fut accepté par les parents, et par le Ministère…

Le jour tant attendu arriva enfin, et les archives purent être consultées.

A la date du 3 mars 1945, pendant la guerre du Pacifique, un porte-avion, le « Natoma Bay » croisait au large des cotes japonaises. Ce jour-là, une escadrille de 20 Corsairs avait effectivement décollé, et seuls 19 étaient rentrés ; le dernier avion ne revint jamais.

Les détails de l’opération s’étalaient devant le psychiatre et les parents de James médusés, car la totalité de l’histoire racontée par James se révélait parfaitement exacte.

Mais les choses ne s’arrêtaient pas là…
Les archives donnaient le nom du pilote porté disparu : le lieutenant James Huston Junior.  Dans les renseignements familiaux, on trouva alors que le père de ce pilote se prénommait lui-même James…  La signature « James 3rd » de James Leininger sur ses dessins prenait tout à coup  un sens tout particulier…

Et les surprises n’étaient toujours pas terminées…
Car James Huston Junior avait une sœur, Anne, qui était toujours en vie ! Elle avait 84 ans…  Contactée, elle accepta de recevoir le jeune James. A l’issue de leur entretien, la vieille dame extrêmement émue déclara : « Ce petit garçon ne peut être que mon frère, il connait des détails de ma jeunesse que même mes parents n’ont jamais su… »

James Leininger et sa « sœur » Anne, la sœur de James Huston Junior

James et ses parents rencontrèrent également quelques-uns des anciens pilotes survivants ; ils obtinrent de nombreux renseignements sur le crash de l’avion de James Huston Junior, de même que sur l’endroit où l’avion s’était abimé en mer.

James fut très attristé de voir que ses amis étaient aussi vieux… Il se rappelait d’eux quand ils avaient 20 ans.

A la suite de tout ceci, les Leininger firent le long voyage jusqu’au Japon, où ils allèrent déposer un bouquet de fleurs en mer, à l’endroit où leur fils avait disparu 50 ans plus tôt.  L’horreur des cauchemars de James s’atténua petit à petit ; il se réveillait en sanglotant doucement.  Les cauchemars disparurent vers l’âge de 8 ans.


Epilogue

Quelques temps plus tard, alors que les choses s’étaient enfin apaisées, James déclara à ses parents : « Vous êtes de bons parents, j’ai bien fait de vous choisir… »

M. et Mme Leininger crurent que le sol s’ouvrait à nouveau sous leur pieds, mais déjà James continuait : « Vous étiez tranquillement assis sur une plage, un soir, auprès d’un petit restaurant, et je m’étais dit que vous feriez de bons parents pour moi. Je ne m’étais pas trompé… »

Ils n’eurent aucun mal à situer le moment dont parlait James… Ils étaient alors en voyage pour leur anniversaire de mariage ; le petit restaurant était celui où ils venaient de diner ; et c’était précisément le soir où Mme Leininger avait dit à son mari : « Nous sommes bien ensemble, il serait peut-être bon à présent de penser à fonder une vraie famille… »

5 semaines plus tard, Mme Leininger tombait enceinte de James.