Les vibrations

Considérons les vibrations du plutonium… Si ces vibrations peuvent tuer, il est probable qu’à l’autre bout du spectre, certaines puissent être bénéfiques. Et heureusement pour nous, c’est exactement le cas…

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Dans l’Univers, tout vibre !                

La mesure des vibrations                  

Caractéristiques des vibrations         


Dans l’Univers, tout vibre !

Les atomes, la Terre, les lieux, les maisons, les objets… Ces vibrations sont structurelles, intimement et irrémédiablement liées à la matière ; elles sont provoquées par les électrons qui  tournent autour des noyaux des atomes. Pas le choix, nous sommes faits avec, et nous devrons faire avec…

Les vibrations dont se préoccupe la Géobiologie sont invisibles, ténues, et permanentes. Leurs effets sont déterminants sur notre santé, et il est très important de mesurer leur nocivité. Le fait que nous ne les percevions pas (ou peu) participe à la dangerosité des vibrations nocives.

Des effets invisibles : Considérons une hélice d’avion, et démarrons le moteur. L’hélice tourne, et déjà ses contours s’estompent au point que nous avons du mal à en préciser sa forme. Accélérons le moteur, et l’hélice devient presque invisible.  Imaginons de multiplier la vitesse par 10 ou par 100 : nous ne verrions plus du tout l’hélice, mais nous ressentirions malgré tout l’effet du puissant courant d’air créé par elle.

Parfaitement visible ici, l'hélice de cet avion va le devenir de moins en moins au fur et à mesure que sa vitesse va augmenter, jusqu'à devenir quasiment invisible... et très dangereuse.

Il en est de même pour les phénomènes géobiologiques. Leurs fréquences de vibrations sont telles qu’ils échappent à notre vue, alors que nous pouvons en subir des effets très violents.

Des effets ténus, mais permanents : pour se donner une idée de ces effets, il n’est qu’à considérer l’action de l’eau sur la roche. A peine perceptible à l’échelle humaine, l’action de l’eau a en bien des endroits façonné notre planète en d’impressionnants canyons.

Des effets au quotidien : les effets de certaines vibrations transparaissent dans notre vie de tous les jours  sans que nous y prenions vraiment garde : des fourmillements ressentis en certains endroits de la maison, sur un canapé ou dans un lit par exemple, des cercles foncés dans l’herbe de nos pelouses, des arbres penchés ou tordus, des différences de vitalité dans une haie… Tout ceci révèle la présence de vibrations perturbantes.

Ces effets, nocifs pour nos organismes, sont appelés perturbations, et peuvent affecter sévèrement la santé : maux de tête à répétitions, sommeils perturbés, matins où l’on se réveille plus fatigué qu’au couché, maladies plus ou moins graves que la médecine est impuissante à enrayer. Certaines perturbations incroyablement violentes peuvent tout à fait tuer une personne en quelques années.  Voir à ce sujet le livre tout à fait édifiant de Roger de Lafforest : « Ces maisons qui tuent »

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La mesure des vibrations

Depuis des temps immémorables, les sourciers, munis de leurs baguettes, ont capté les vibrations émises par les cours d’eau.

Au début des années 1900, André Bovis, radiesthésiste de son état, chercha à quantifier ces vibrations. Il créa une échelle de mesure (graduée en Unités Bovis, UB pour les intimes ) et la testa sur des fruits.
Son idée était de mettre en corrélation les valeurs obtenues avec l’aspect visuel des fruits : frais, passés, blets, pourris…

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Ce fut une excellente idée, car la corrélation s’avéra bien réelle…  Ce fut sans doute un premier pas vers une démarche scientifique, car les vibrations étaient ainsi devenues quantifiables, et leurs propriétés reconnaissables. Des valeurs tangibles indiquaient à présent que certaines de ces vibrations étaient «bonnes », tandis que d’autres étaient perturbantes.

A cette époque, André Bovis détermina qu’un taux vibratoire équilibré se situait à 6500UB.  Mais il est assez courant que d’un géobiologue à l’autre, on puisse observer des différences dans les mesures. Cette  disparité est due à la perception propre à chaque géobiologue, au système de référence utilisé, à ses propres repères…

Cela n’a pas – dans certaines limites quand même – l’importance que l’on pourrait croire. L’important est que les géobiologues soient d’accord pour dire que tel endroit est perturbant ou non, et qu’ils puissent neutraliser sa nocivité.

Toutefois, une échelle de mesure appelée Biodynamètre supprime cette apparente disparité. Cette échelle ne donne pas de valeur, mais directement l’état vibratoire des lieux et des personnes. et met généralement tout le monde d’accord… Bonne chose !
Pour faire une analogie simple, une échelle Bovis indique votre tension artérielle, tandis que le Biodynamètre vous dit si vous êtes malade ou en bonne santé.

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Les caractéristiques des vibrations

Grosso modo, plus un taux vibratoire est élevé, mieux c’est, mais dans certaines limites !
Un taux vibratoire exagérément élevé peut parfaitement empêcher une personne de dormir en la mettant dans un état de grande excitation.

D’ailleurs chez certains enfants hyperactifs , il ne faut pas chercher ailleurs les causes du problème.

thermometer in the sky, the heat

Inversement, mais vous l’auriez deviné, plus la valeur d’une vibration est basse, et moins bien c’est. Dans un lieu aux basses vibrations, nous ne nous sentons pas bien. Cela peut aller du simple ressenti au mal de tête carabiné, d’une fatigue insurmontable jusqu’au déclenchement de maladies.

En clair, il ne faut pas trop rigoler avec ça. La page consacrée aux perturbations vous donnera un petit florilège de ce que peuvent donner des vibrations trop basses.

Le taux vibratoire est un terme que les géobiologues emploient beaucoup, et qui représente la qualité d’une vibration, d’une énergie. En mesurant des taux vibratoires judicieusement choisis, il est possible de  qualifier les vibrations émises par un lieu, une maison, une personne, un animal, un objet… enfin à peu près tout ce qu’on veut.

Comme pour l’échelle Celsius des températures, l’échelle Bovis ne s’arrête pas à zéro et se prolonge vers le bas. Il n’existe pas de limite connue, ni pour les valeurs supérieures, ni pour les valeurs inférieures.  C’est ainsi que certains lieux très négatifs peuvent engendrer rapidement des maladies graves.

Ainsi, dans un appartement de Bourgoin, le taux vibratoire à l’aplomb de la table du salon était de -700 000UB, ce qui est incroyablement bas. La personne qui habitait là ressentait devant cette table des troubles puissants. A son aplomb,  se croisaient exactement 3 cours d’eau et 1 faille extrêmement nocifs.

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Les instruments de mesure

Un cadran ( il en existe des dizaines), un pendule, une antenne, et vous voilà théoriquement  prêts à faire vos premières  mesures. C’est tout ??  Oui, c’est tout… Et au risque d’en faire frémir certains, je vous assure qu’un pendule est un instrument de grande précision.

Mystische Pendelszene

Si vous êtes naturellement très sensible, il se peut que les résultats soient parfaits dès vos premières mesures ( j’en ai rencontré, ces personnes existent !).  Mais dans la plupart des cas, il vous faudra travailler pour développer cette faculté…  Bon, en même temps c’est valable pour beaucoup de choses, hein… Mettez un violon dans les mains d’une personne qui n’en a jamais joué, et il y peu de chances que vous soyez ébloui par du Mozart dès les premières notes.

Vous lirez souvent que le pendule n’a pas d’importance, et c’est presque vrai. Un pendule peut être un simple boulon accroché à une ficelle, ça ne changera rien au principe. Mais dans le détail, un pendule adapté est quand même drôlement plus précis qu’un boulon ! Un menuisier peut très bien enfoncer un clou avec une clé à molette, mais un marteau est quand même sacrément plus pratique.

Un pendule ne mesure rien tout seul.  Si vous accrochez un pendule à une potence et que vous attendez de voir ce qu’il se passe, vous risquez d’attendre longtemps, j’ai essayé…

Vous lirez souvent que c’est notre corps qui réagit aux vibrations recherchées par des micro-mouvements que  le pendule amplifie. Et là je ne suis pas trop d’accord…
Lorsque mon pendule indique une valeur, et que j’essaie volontairement de le déloger de cette valeur, il résiste et cherche à revenir à ladite valeur. C’est d’ailleurs un moyen de contrôle lorsque l’on n’est pas trop sûr de sa mesure. Si le pendule agissait en fonction de micro-mouvements, il y a belle lurette que j’aurai obtenu  n’importe quoi, et cessé la Géobiologie…

Mon avis, qui n’engage que moi, est que le pendule participe activement à la chaine de mesure que forme l’ensemble Esprit-corps-bras-pendule. Oui, vous avez bien lu « Esprit », et nous en reparlerons.

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