Le Feng-Shui reconnaît une énergie qui traverse nos maisons, semant bien-être ou désordre selon de multiples critères : disposition des pièces, obstacles…L’énergie étant une vibration, la Géobiologie devait pouvoir la détecter.
Tout commença par une nuit de grande chaleur. La fenêtre à moitié ouverte de notre chambre ne suffisait pas à fournir suffisamment d’air frais, et je me levais pour l’ouvrir en grand. Quelques instants plus tard, ma compagne, très sensible aux phénomènes énergétiques, commença à s’agiter dans son sommeil.
Intrigué par la coïncidence, je fis quelques mesures : son taux énergétique était anormalement élevé. Je refermais la fenêtre, le taux énergétique de ma compagne reprit sa valeur initiale, tandis que son agitation s’atténuait rapidement pour disparaître quelques instants plus tard.
Comme beaucoup de monde, je connaissais l’existence du Feng-Shui, cousin chinois de la Géobiologie. Le Feng Shui reconnaît une énergie, le Chi, ou Ki, qui traverse nos maisons, semant bien-être ou désordre selon de multiples critères : disposition des pièces, obstacles représentés par le mobilier, et sans doute de bien d’autres choses… L’énergie étant une vibration, selon toute logique, la Géobiologie devait pouvoir la détecter.
A l’aide d’une antenne, je cherchais le flux d’énergie à partir de la fenêtre de la chambre. Une première explication parut immédiatement : lorsqu’un seul battant était ouvert, l’énergie qui passait par la fenêtre venait directement sur moi, puis contournait le lit sans vraiment atteindre ma compagne. Mais lorsque le deuxième battant était ouvert, la trajectoire de cette énergie se décalait, allait directement sur ma compagne, puis revenait en spirale l’impacter 3 fois à la hauteur de la tête…
Le matin, j’effectuai d’autres mesures de ce flux d’énergie dans la maison. A partir de la porte d’entrée, le flux d’énergie m’emmena directement vers les toilettes située en face de l’entrée et s’arrêta à la verticale de la cuvette des WC, m’indiquant que le voyage s’arrêtait là. Pas top, ça… Je suivis une seconde trace qui se termina au-dessus de l’évier de la cuisine, tandis qu’une troisième vit l’énergie filer par la fenêtre, après avoir contourné la table. D’autres trajectoires encore se dirigeaient vers le salon, où elles subissaient de nouvelles divisions…
Un flux d’énergie important circulait donc bien dans la maison, rentrait ou sortait par les portes et fenêtres, contournait le mobilier, progressait en spirales, se subdivisait de nombreuses fois pour aller dans toutes les pièces de la maison, et allait se perdre un peu partout dans la maison.
Etablir avec précision les mouvements de cette énergie en tous points de la maison me semblait être une tâche non seulement fort conséquente, mais également largement aléatoire, car le degré d’ouverture des portes et fenêtres influait grandement sur les trajectoires ! J’étais écrasé par l’ampleur de la tâche, et cela ne réglait en aucun cas mon problème de fond : l’Energie s’écoulait-elle normalement dans cette maison ??
La Géobiologie présente l’immense avantage de pouvoir poser des questions, et d’obtenir des réponses. J’abordai alors le problème de l’énergie de ce point de vue. Les questions ci-dessous permettront aux non-initiés de se faire une idée de ce qu’il est possible d’obtenir avec la Géobiologie. Les réponses aux questions ci-dessous ont été obtenues à l’aide d’un pendule, mais une antenne aurait aussi bien fait l’affaire.
– y a t-il une énergie qui se déplace dans cette maison ? OUI
– cette énergie rencontre t-elle des obstacles ? OUI
– cette énergie va t-elle se perdre sur les points d’eaux ? OUI
– ces points d’eaux où l’énergie se perd constituent-ils des points de fuite ? OUI
– est-il normal que cette énergie se perde sur ces points de fuite ? NON
– est-il normal que ces points de fuite existent dans la maison ? NON
– est-il normal que des points de fuite existent dans la maison ? OUI
– à l’inverse, existe t-il des points de blocages ? OUI
– ces points de blocage empêchent-ils l’énergie de circuler librement dans la maison ? OUI
– est-ce que la présence de tels points de blocage est normale ? NON
– La circulation de l’énergie est-elle optimale dans cette maison ? NON
– est-il possible d’établir un pourcentage de circulation de l’énergie dans cette maison ? OUI >> 35%
– est-il possible de rétablir une circulation optimale de l’énergie ? OUI
– suis-je en droit de demander que la circulation de l’énergie soit rétablie ? OUI
– est-ce que cette opération est en accord avec la Lumière ? OUI
…
J’effectuais encore quelques vérifications sur la légitimité de cette opération, vérifiait son innocuité sur les habitants du lieu, c’est à dire nous, et je procédais au rétablissement d’une circulation optimale de l’énergie dans ce lieu. Le résultat de cette opération appliquée à notre habitation puis à plusieurs autres, fut pour leurs occupants la sensation d’une meilleure qualité de sommeil et de repos.
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Ayant repris mes mesures sur ces nouvelles bases, je m’aperçus que dans la plupart des cas, l’énergie qui rentrait dans une pièce en faisait 3 fois le tour en spirale lévogyre, avant de disparaître par un point de sortie que l’énergie semblait avoir créé pour elle seule. Ce point fut détecté plusieurs fois dans le coin opposé à la porte d’entrée, sans toutefois savoir si cela correspondait à une règle.
Cette circulation de l’énergie en spirale me fit penser que peut-être, des symboles avaient été créés pour désigner ce mouvement. Et justement, quelques uns existent. Hasard ???
Le symbole CHO KU REI utilisé en Reiki : remarquez la spirale qui tourne 3 fois dans le sens lévogyre…
Le TRISKELL des Celtes : 3 spirales qui tournent vers la gauche…
La SVASTIKA, symbole généralement connu de sinistre mémoire, mais ce symbole avait à l’origine (quelques milliers d’années) une toute autre signification…
Certifier la correspondance de ces symboles avec la circulation de l’énergie est une chose vers laquelle je ne m’aventurerais pas, mais la coïncidence me semble toutefois remarquable. Je continuerai à creuser dans cette direction…
Ayant lu sur plusieurs sites de Feng Shui que l’énergie se chargeait de ce qu’elle rencontrait sur son passage (attention aux poubelles à l’entrée des maisons…) je fis les mêmes demandes en ce qui concernait la pureté de l’énergie, et procédais également au rétablissement de la pureté originelle de cette énergie. La qualité de sommeil progressa encore de quelques degrés.
Bien évidemment, je me demandai si une telle énergie circulait également dans nos corps… Là encore, je confiai à la Géobiologie le soin de répondre à mes questions. Je vous en donne l’essentiel ci-dessous :
Oui, une énergie circule bien dans nos corps. A l’instar de celle qui circule dans nos maisons, cette énergie est sujette à des points de blocage et à des points de fuite. Cette énergie semble rentrer à la hauteur du plexus solaire, et je n’ai pas trouvé de point de sortie. Des mesures faites sur des personnes de ma connaissance dégagent de surprenantes indications…
Ces observations ont été faites sur une dizaine de personnes que je connais, et même si la liste s’allonge un peu plus chaque jour, confirmant pour le moment ces observations, il n’est nullement question de leur affirmer un caractère d’universalité quelconque.
Il est plus que probable que des causes purement médicales amènent les mêmes observations. Cependant, il reste dans un coin de ma tête qu’il n’est pas impensable qu’une cause purement médicale puisse créer, au niveau énergétique, un point de blocage ou un point de fuite sur une personne. Les mesures à venir amèneront peut-être une meilleure vision de ce phénomène.
Personnes possédant un taux de circulation d’énergie idéal
Lorsque l’énergie circule naturellement à 100% dans le corps, les personnes qui ont cette chance possèdent une silhouette qui semble ne jamais devoir changer. Quelque soit leur âge, nul embonpoint ne les affecte. On leur demande leur secret : ils n’en ont point. Ils mangent ce qu’ils veulent, ne connaissent pas de régime, et les choses sont ainsi. Pour ceux qui n’arrivent pas à maîtriser leur poids, la nature peut sembler bien injuste…
Pour donner un parallèle, imaginons un moteur très bien réglé, dans lequel chaque goutte d’essence est convertie en énergie pour faire avancer la voiture. La carburation est parfaite, toute l’énergie du carburant est utilisée, et un strict minimum de polluants est rejeté par les gaz d’échappement.
Personnes possédant un taux de circulation d’énergie trop faible
Les personnes chez qui l’énergie circule difficilement (taux de circulation en dessous de 70% ) semblent affectées par des problèmes de surpoids. Leurs morphologies qui vont du léger embonpoint à l’obésité, et l’importance du problème semble directement corrélée avec la valeur du pourcentage. Plus il est bas, plus les points de blocage sont nombreux, et plus la personne tend vers l’obésité.
Si nous reprenons le parallèle avec notre moteur, ici, des particules obstruent les injecteurs de carburant, le filtre à air est encrassé et l’huile périmée ; des suies se déposent dans le moteur et l’échappement, le moteur s’engorge, et la carburation se fait mal.
Personnes possédant un taux de circulation d’énergie trop important
Surprise, je découvris que le taux de circulation d’énergie ne s’arrêtait pas à 100%, mais pouvait monter bien au-delà de cette valeur ! Les personnes chez qui ce taux est supérieur à 100% semblent toutes présenter la particularité d’être trop maigres et de ne pas arriver à atteindre un poids normal, quelques soient les efforts faits pour s’alimenter. Des points de fuite affectent ces personnes, et plus ils sont nombreux, plus la personne est maigre, et plus le taux de circulation d’énergie est supérieur à 100%.
Le parallèle avec le moteur se comprend dans ce cas particulièrement bien. Le moteur est mal réglé, des fuites d’air ou de carburant sont présentes un peu partout sur le circuit d’injection ; le moteur consomme une quantité incroyable de carburant, pour un rendement particulièrement bas.
Une femme atteinte d’un cancer du sein
Après son traitement par irradiation, cette femme vit son poids chuter, tandis qu’un sentiment d’extrême fatigue l’étreignait. Sans doute son traitement n’était-il pas étranger à cette situation, mais voyez plutôt la suite. Six points de fuite affectaient cette personne, et son taux de circulation d’énergie était de 200%.
Le rétablissement d’un taux de circulation d’énergie à 100% eut 2 conséquences :
– une énergie retrouvée quasi instantanément, et…
– une fringale soudaine de tous les instants, tellement intense que cela lui faisait mal au ventre. Ce fait inattendu m’obligea à la faire revenir à son état antérieur.
Avec l’accord de cette personne, une neutralisation nettement plus mesurée est en cours : les points de fuites sont enlevés un à un, et la personne m’informe de son ressenti au fur et à mesure, avant chaque nouvel enlèvement. Son énergie semble revenir petit à petit, sans les précédents inconvénients. Les choses sont en cours, mais je ne manquerai pas de les joindre à cet article à la fin de l’opération…
Un chien et un chat :
Un chien et un chat furent traités pour le même problème de sous-poids. Dans les 2 cas, des résultats commencèrent à être perçus au bout d’une semaine, et encore une semaine plus tard, le doute n’était plus permis : leur morphologie générale dégageait une impression de meilleure santé, et en les caressant, on ne sentait presque plus leurs côtes. Le chien est malheureusement décédé depuis, un problème médical important l’ayant emporté. Le chat, lui, va bien et a retrouvé une ligne de pleine santé.
Moi-même :
Et enfin pour moi-même, qui présente depuis la cinquantaine quelques (menues, fort menues…) tendances à l’embonpoint, ces derniers mois virent mon poids aborder une courbe ascendante qui me préoccupait quelque peu. D’autant que pour tenter d’enrayer cette courbe, je mangeais de moins en moins, avec pour résultat… aucun résultat.
Je fis donc pour moi ce que j’avais fait pour d’autres : je mesurais mon taux de circulation d’énergie, et j’obtins un petit 40% bien pâle… Je fis donc le travail sur moi-même, le taux de circulation passa instantanément à 100%, et j’attendis.
La première semaine, rien ne se passa hors que la balance avait cessé son irrésistible ascension et que l’aiguille stagnait sur le même chiffre. La semaine d’après, l’aiguille consentit à descendre d’un tout petit kilo. Et en 4 semaines, j’atteignis la valeur de ### qui ne vous regarde pas, mais cela faisait tout de même 3 bons kilos en moins.
Dans le même temps, l’énergie que je pouvais déployer semblait être en nette progression. Cet épisode ayant eu lieu en pleine canicule de 2015, cette différence d’énergie fut très sensible, car depuis fort longtemps des températures élevées me mettent dans un état proche de la léthargie. Et ce n’était presque plus le cas cette fois-ci, malgré des températures jamais atteintes auparavant…
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La suite est dans les cartons !
L’idée qui est arrivée après était : si des personnes ayant quelques kilos en trop peuvent perdre (assez lentement) un peu de poids par un rétablissement du taux de circulation de l’énergie, serait-il possible d’accélérer les choses en créant un point de fuite… ? Il semblerait que la réponse soit oui, mais ceci est à vérifier et re-vérifier…
Par ailleurs, j’ai commencé des mesures sur le taux de circulation de la lymphe. Je crois savoir que le circuit lymphatique a un rôle d’évacuation des déchets dans notre corps, et que la lymphe qui circule dans ce circuit a une fâcheuse tendance à s’épaissir et à ne plus circuler correctement.
Le rétablissement de la fluidité de la lymphe pourrait peut-être augmenter l’efficacité de l’énergie circulant dans le corps. A voir…