EMI ou NDE

Les expériences de mort imminente (EMI) surviennent parfois lorsque le cœur d’une personne s’arrête de battre, l’entrainant ainsi aux frontières de la mort.

Une EMI peut survenir lors d’un arrêt cardiaque, comme c’est parfois le cas lors d’accidents de la route, de maladies graves, ou d’opérations chirurgicales. Par l’intervention des médecins, le cœur se remet à fonctionner au bout d’un laps de temps plus ou moins long, permettant à ces personnes de revenir à la vie… Et parmi les personnes qui sont revenues de ces frontières de la mort, quelques-unes racontent des choses étranges. Les EMI sont encore appelées NDE, pour Near Death Experiment.

Cette page ne prétend pas prouver à elle seule ce que vous allez y découvrir. Mais les suites qui en découlent éclairent et relient entre eux des faits classés un peu rapidement au rayon légendes et superstitions. Chaque article de la rubrique « Phénomènes paranormaux » de la page d’accueil est un élément du puzzle…

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Ce que vivent ces personnes              

Les explications                                

Livres                                               


Ce que vivent ces personnes

Dans la quasi-totalité des cas, ces personnes ayant vécu une EMI disent qu’elles se sont mises à flotter au-dessus de leur corps, corps qu’elles reconnaissaient très bien comme leur appartenant, mais dont il n’était pas « elles »…  A ce moment-là, « elles » étaient ce quelque chose qui flottait  au-dessus de leur corps…

Beaucoup d’entre elles affirment avoir été témoins d’une clarté blanche extraordinaire, plus vive que celle du soleil, et d’avoir ressenti de la part de cette clarté un sentiment d’amour immense. Certaines affirment également avoir vu des parents décédés depuis longtemps venus pour leur parler.

Toutes, enfin, eurent la sensation de réintégrer leur corps plus ou moins brutalement, et pour beaucoup, ce retour fut un sentiment pénible d’emprisonnement dans un corps souffrant.

Mais  les choses ne s’arrêtent pas là, car à leur réveil, certaines de ces personnes purent raconter des détails précis et vérifiés de faits qui s’étaient déroulés alors que leur cœur était arrêté, et leurs corps en état de mort clinique.  Aux médecins stupéfaits, furent rapportés avec une infinie précision les échanges entre les personnes présentes, les moindres gestes pratiqués sur leurs corps, les noms des produits, des instruments utilisés…

Les faits allèrent même encore plus loin : quelques personnes purent rapporter des choses très éloignées de leurs corps : ainsi cette personne qui à son réveil, alerta les infirmières pour leur dire qu’un pot de fleur placé sur le rebord d’une fenêtre de chambre menaçait de tomber, au risque de blesser des passants. Le pot décrit fut effectivement retrouvé en équilibre précaire à l’endroit dit, mais la chambre en question était à l’autre bout de l’hôpital…

De même cette femme qui affirma dès son réveil que pendant son opération, un infirmier indélicat lui avait dérobé ses bijoux dans sa chambre. L’accusation était grave et péremptoire, et elle fut bien sûr vérifiée : les bijoux furent retrouvés par la police au domicile de l’infirmier.


Les explications

Devant la multitude de cas enregistrés, des  tentatives d’explications furent avancées : dernières informations captées par la conscience, avant que celle-ci ne revienne finalement à la vie ;  substances chimiques libérées par le cerveau au moment où celui-ci n’est plus irrigué, qui provoqueraient des hallucinations, d’où les cas d’apparition de lumière, ou encore l’hallucination d’avoir parlé à des parents décédés…

On ne peut nier que ces suppositions soient effectivement des possibilités… Mais quand les faits rapportés se passent dans une pièce voisine ou dans une autre aile de l’hôpital, il faut bien admettre que ces explications commencent à trébucher.

Mais en réalité, les explications sont infiniment plus simples !

L’âme est immortelle et ne s’éteint pas  avec la mort du corps. Aussi, l’état de mort clinique facilite l’évasion de l’âme hors du corps, qui voit ainsi ce qui se passe autour d’elle. L’âme n’étant plus entravée par son corps physique peut aller en substance ou bon lui semble ; c’est ainsi que certaines personnes ont pu voir des évènements se déroulant dans des pièces voisines ou à l’autre bout de l’hôpital.  Quant aux rencontres avec des proches décédés, elles sont tout simplement le fait de la rencontre avec les Esprits de ces proches.

A son retour dans son corps, le patient rapporte donc tout simplement ce que son esprit a vu, de la même façon que certains se souviennent de leurs rêves au réveil…

        

Dans tous les cas, les personnes qui ont vécu une telle expérience ont sans conteste des souvenirs extrêmement précis et ineffaçables de ces instants, et leur vision, et de la vie, et de la mort, ont complètement changé, poussant certaines à changer drastiquement leur mode de vie, jusqu’à parfois reprendre des études.  Quant au nombre de ces personnes qui ont vécu une EMI, il serait tout de même question de plus de 15 millions de personnes à travers le monde…

Logique et cohérence

La simplicité de ces explications ne doit pas faire oublier leur logique et leur cohérence avec l’immortalité de l’âme  et avec tout ce que vous avez pu lire sur ce site (ou ailleurs…). Car il est temps du Principe de Simplicité, l’un des principes fondamentaux de la Science… Ce principe est également connu sous le nom du rasoir d’Ockham. Voici en trois phrases qui signifient toutes la même chose, ce principe :
« les hypothèses suffisantes les plus simples sont les plus vraisemblables »
« si deux hypothèses suffisantes viennent en réponse à une question, la plus simple est la meilleure »
« pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? »

Ce principe est pourtant hélas trop souvent foulé aux pieds par nombre de scientifiques dès lors qu’il contredit ce qu’ils croient savoir.   Voyez ce qu’il arriva en 2008 :


Livres

Les livres traitant du sujet des expériences de mort imminente sont très nombreux. En voici  2 titres :

– La Vie après la Vie (1975).  Le Dr Raymond Moody est l’un des premiers qui ait osé parler de qui arrivait parfois dans les salles d’opération…

Et pour ceux qui auraient tendance à penser qu’en 1975, les hommes et les femmes se faisaient trop facilement berner par n’importe quoi ou n’importe qui :
– Les preuves scientifiques d’une Vie après la Vie (2008), du Dr Jean Jacques Charbonnier, un médecin anesthésiste réanimateur toujours en activité…

 

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