La disparition du savoir

La Géobiologie est une science très ancienne dont le savoir a été perdu, non par accident, mais par la destruction de ceux qui savaient…

Cette page est une hypothèse basée sur ce que j’ai pu lire et déduire de mes recherches. Je ne prétends pas détenir la vérité, mais le déroulement des faits me semble cohérent. Si d’autres informations venaient apporter des éléments nouveaux, j’en tiendrai compte pour coller au plus près d’une possible vérité…

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Les prémices du déclin        

Premier acte : an 1307        

Deuxième acte : Galilée       

Dernier acte : la Science       


Les prémices du déclin

Nous sommes à la fin du 12ème siècle… Les églises étaient alors des lieux de soins particulièrement élaborés du point de vue  géobiologique, et pour ceux qui ont cette connaissance, les églises romanes du 12ème et 13ème siècle encore debout l’attestent sans l’ombre d’un doute. Les bâtisseurs de ces édifices, dont faisaient partie les Templiers, culminaient alors au sommet de leur art. Leurs connaissances en terme de Géobiologie surpassaient de très loin ce que nous savons aujourd’hui.

 

L’Ordre des Templiers… En 1300, cet ordre n’avait que faire de l’Église romaine, dont il considérait, non sans quelques raisons, qu’elle s’était très largement éloignée de ses fondements.  « L’arrogance » des Templiers face à l’Église passait très mal auprès de cette dernière. En Albi notamment, les Templiers éduquaient la population, soignaient, aidaient, et les prêtres voyaient leur influence très diminuée.

Ceci ne plaisait ni à l’Église, en tout premier lieu, ni au Roi de France Philippe le Bel, qui craignaient cette puissance qu’ils considéraient comme un danger inquiétant. Les Templiers passaient pour avoir des connaissances immenses, une puissance colossale, et le bruit courait qu’ils disposaient d’une formidable fortune…

L’Église et le roi décidèrent que cette situation devait cesser. Le déclin des Templiers et de leur savoir allait être brutal.

 


Premier acte : an 1307

En une seule journée, la quasi-totalité des Templiers furent arrêtés et mis entre les mains de la terrifiante Inquisition, inquisition qui ne fit pas le détail…  En déclarant tous les Templiers hérétiques, elle entreprit de les faire disparaître. En ce temps-là, les bûchers éclairaient la France.

Le coup d’arrêt fut terrible, et l’antique savoir dissimulé par ceux qui le détenaient encore.  Faire valoir de telles connaissances était devenu extrêmement dangereux. Les indispensables sourciers, et les inestimables alchimistes (les pharmaciens d’alors), furent peut-être parmi les rares détenteurs à ne pas (trop) avoir à se cacher.

Les « sorciers » qui n’étaient autres que les détenteurs d’une partie de ce savoir, payèrent quant à eux le prix fort. L’Inquisition carbonisait méthodiquement, et à tour de bras.

C’est ainsi qu’une chape de plomb s’abattit sur l’avenir de la France, chape qui perdura plusieurs siècles. Période sombre qui allait mener ni plus ni moins à la quasi-disparition de ce savoir immémorial que représentait la Géobiologie appliquée aux édifices, aux symboles, aux Esprits, et aux soins des personnes.
Ceci allait mener à bien des errements dont nous ne sommes pas encore sortis…

Mais le calvaire du savoir n’était pas encore terminé, car un autre acte attendait son heure. Il attendit 300 ans…


Deuxième acte : Galilée

300 ans plus tard donc,  en 1623, Galilée tournait sa lunette astronomique vers les étoiles.

Son but : observer, bien sûr, mais pour la première fois,  se servir d’une lunette comme d’un instrument de mesure. Ce fut le succès que l’on sait, qui lui permit de confirmer ce que d’autres avant lui avaient déjà observé : la Terre n’était pas le centre de l’Univers…

Dans le combat qui opposa Galilée à l’Église, l’observation visuelle avait pris le pas sur la spiritualité, du moins sur ce qu’il en restait dans l’Église. Et pour ce qu’il restait du savoir, le coup de grâce allait arriver par les défenseurs de la vérité eux-mêmes…


Dernier acte : La Science

Ce troisième acte, lui, ne tarda pas à arriver. Il ne fallut en effet pas attendre très longtemps pour que d’autres savants  finissent par prouver  que Galilée avait eu raison.

En 1687, Isaac Newton, philosophe, mathématicien, physicien, alchimiste, astronome et théologien, publiait son œuvre  Philosophiæ Naturalis Principia Mathematica  (Principes mathématiques de la philosophie naturelle) dans lequel il décrivait les bases de  ses calculs de la gravité, appelée à l’époque « Attraction Universelle ».

Pour la première fois, des calculs confirmaient mathématiquement la position centrale du soleil, ils sont d’ailleurs la base de toute l’astronomie moderne. La preuve était donc faite : la Terre tournait autour du soleil !

Et cela fit toute la différence. Il venait donc d’être prouvé par les savants de l’époque, si souvent mis à mal par les dogmes cléricaux, que l’Église s’était donc au moins fourvoyée sur un point.  Ses prétendues bases n’étaient donc pas divines, et dès lors, il apparut aux scientifiques que la seule vraie Science était la Science de l’observation. Et un corollaire aux funestes conséquences en résulta :  « … donc ce qui ne se voit pas n’existe pas… ».

Conclusion logique, mais fâcheuse,  car l’existence de plans supérieurs venait d’être reléguée au rang de mystification, et pour dire les choses autrement, le bébé venait de partir avec l’eau du bain.

La toute-puissance de l’Eglise venait de prendre une sacrée volée du plombs, et probablement, le lent déclin de la religion s’amorça à ce moment-là.

Dans le même temps, les restes de l’antique savoir furent balayés sous le tapis par ces nouveaux scientifiques. Le temps produisit ses effets, et les siècles qui continuaient leur lente progression finirent d’effacer les traces des antiques connaissances des mémoires, reléguant au rang de fables et de légendes  la compréhension du monde, les Invisibles qui nous côtoient, et le sens de  la Vie.

La Science ayant balayé le ciel de toute trace de spiritualité, plus rien ne retenait vraiment les hommes, qui asservirent la nature et la pillèrent sans retenue. L’oubli submergeant l’expérience, ils construisirent leurs maisons n’importe où, et n’importe comment.  Les conséquences profondes allaient tarder à se faire sentir, mais nous en mesurons aujourd’hui les terribles effets…

La Sensibilité des personnes

Nous sommes tous différents : goûts, couleurs, idées… et notre sensibilité face aux phénomènes géobiologiques suit la même logique.

Ceci pourrait être perçu comme un détail, mais dans la réalité, c’est très loin d’être le cas !

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Une affaire individuelle                  

Quelques valeurs de sensibilité     

Avantages et inconvénients           


Une affaire individuelle

La sensibilité aux phénomènes géobiologiques est mesurable, et le moins qu’on puisse dire, c’est que nous ne sommes pas tous égaux devant cette perception. De là vient parfois que Madame dort très mal et se réveille plusieurs fois par nuit, tandis que Monsieur, lui,  dort comme un bienheureux. Ou inversement.

Les personnes peu sensibles ne ressentent en général absolument rien. Et pensent donc que tout va bien.  Ceci peut être, hélas, un raccourci trompeur et dangereux, nous allons voir pourquoi un peu plus loin, au chapitre «  Avantages et inconvénients »

Pour les personnes les plus sensibles, les choses sont beaucoup plus compliquées… Une sensibilité géobiologique très élevée peut poser des problèmes sérieux que rien ne permet de raccrocher à quelque chose de tangible.  Les nuits sont fortement affectées, les journées aussi parfois, et l’ensemble peut s’apparenter à un véritable calvaire.

La sensibilité des bébés et des jeunes enfants est beaucoup plus exacerbée que la notre, et l’état géobiologique de leur environnement est souvent la principale cause de leurs problèmes. Avez-vous déjà vu le désespoir d’un enfant qui hurle de peur à l’idée de rester seul dans sa chambre ?  D’un enfant qui se réveille en pleurs 10 fois par nuit ? Et des parents de ces enfants ?  Ceci n’est ni normal, ni une fatalité.

   


Quelques valeurs de sensibilité

Sur une échelle de 0 à 100%, où 100 représente la sensibilité la plus élevée, les personnes qui se trouvent en-dessous de 25% ne ressentent quasiment rien. On les reconnaît au fait qu’elles dorment  bien quasiment partout, et en toutes circonstances.

Entre 25 à 80%, le ressenti monte graduellement mais n’est pas encore trop problématique, bien qu’autour de 80%, les personnes soient plutôt sensibles aux ambiances un peu chargées.

Au delà de  80%, un seuil est franchi et les personnes peuvent se retrouver très mal en fonction de l’environnement dans lequel elles se trouvent. Nervosité, nuits très agitées,maux de tête  Se retrouver en présence de perturbations, chez soi ou ailleurs, peut présenter de vraies difficultés de vie.

Et enfin, au delà de 90%, on rentre dans la zone « COMPLIQUÉ ».
La sensibilité semble devenir exponentielle,  et nous nous trouvons en présence de personnes qui peuvent avoir de (très) gros problèmes.  Ces personnes ne subissent plus seulement les problèmes, elles semblent les attirer…  La neutralisation devient difficile, et doit souvent être faite en plusieurs fois.

La sensibilité la plus élevée que j’aie jamais observée est de 99%… Je ne souhaite à personne de pouvoir dire mieux, ni même autant. La bonne nouvelle est qu’après neutralisation, cette personne vit presque normalement aujourd’hui.


Avantages et inconvénients

Malgré les désagréments qu’elle procure, une grande sensibilité peut malgré tout présenter un avantage conséquent : comprendre par le malaise ressenti, que nous sommes exposés à une perturbation, et avoir une chance de réagir.

Car une faible sensibilité n’exonère hélas pas des conséquences des perturbations !  A l’image des personnes qui ne craignent pas la chaleur et prennent des coups de soleil terribles, les perturbations géobiologiques ne feront aucun cadeau à celui qui aura le malheur de ne pas les ressentir.

Selon la nature de la perturbation, les effets directs et indirects seront plus ou moins terribles et rapides à se manifester de façon tangible. Comptez de quelques minutes à 20 ans… Le livre de Roger Lafforest donne à cet égard une multitude d’exemples de ce qu’il peut se passer dans les maisons…

Mais il faut bien reconnaître, hélas, que la Géobiologie étant encore très largement méconnue, les personnes sensibles subissent parfois une double peine : jour après jour, elles prennent de plein fouet les effets des perturbations, et n’ayant pas la connaissance de qu’il conviendrait de faire, en subissent également  les effets à long terme.
Pas cool, hein ?

Cours d’eaux souterrains et failles

En France, les cours d’eaux souterrains et les failles sont légions, et l’une des principales causes de perturbations telluriques. La nocivité d’un cours d’eau souterrain dépend de sa profondeur et de son débit. Plus il est profond avec un débit important, plus il est nocif pour nous et pour la végétation.

La nocivité d’un cours d’eau souterrain se mesure facilement avec un pendule.  Plus le taux de nocivité est élevé, et plus le cours d’eau peut amener – avec le temps – de sévères problèmes de santé. En dessous de 5% de nocivité, le cours d’eau souterrain est considéré comme quasi sans effet sur notre organisme.

Dormir au-dessus d’un cours d’eau peut générer des maladies humides telles que rhume, rhinite, et sinusites.  Maux de tête le matin au réveil, et parfois envies d’uriner fréquentes. Les nuits peuvent être difficiles, et certains cours d’eaux très nocifs peuvent aller jusqu’à provoquer des cancers.

Les sourciers, qui étaient jusqu’à il n’y a pas si longtemps encore indispensables, nombreux, et performants, connaissaient les problèmes liés aux cours d’eaux souterrains ou non, et c’est sans doute ainsi que certains cours d’eaux héritèrent de noms peu flatteurs qui servaient d’avertissement. Beaucoup de rivières ont encore pour nom « la Mauvaise », ou encore « la Maladière »… Vous voilà prévenus !

L’évocation des sourciers et de leurs célèbres baguettes prête à sourire de nos jours, mais en vérité, même aujourd’hui, il est bien peu de personnes qui n’en aient jamais entendu parler. D’ailleurs, la Géobiologie est issue au moins en partie de l’art des sourciers >>> Abbé Mermet ? Lyon

La mémoire de l’eau

L’eau, qu’elle soit souterraine ou non, se charge de toutes les influences qu’elle rencontre sur son parcours. Tuyaux de plomb, terrains insalubres, irradiés, produits chimiques… rien ne lui est épargnée. Il ne faut pas s’étonner si l’eau de nos robinets à parfois mauvais goût, ou parfois des effets tels que certaines personnes ne veulent plus en boire.

Cet effet d’influence se fait sentir notamment quand nous sommes en présence de personnes subissant des traitements par rayons. L’eau de la carafe prend alors un goût métallique et très désagréable.

Un scientifique travailla dans les années 80 à démonter la fameuse mémoire de l’eau, serpent de mer qui expliquerait le fonctionnement de l’homéopathie. Je vous invite vivement à aller faire un tour sur ce lien, Jacques Benvéniste et la mémoire de l’eau, vous comprendrez pourquoi bien des personnes s’acharnèrent à le ridiculiser.

Un scientifique, M. Jacque Benvéniste, travailla dans les années 80 sur la fameuse mémoire de l’eau, serpent de mer qui expliquerait le fonctionnement de l’homéopathie. Ses travaux montrèrent à l’évidence que l’eau avait bel et bien la mémoire de ce que nous mettons dedans.

Cela ne plut pas, mais alors pas du tout à bien des personnes, qui se chargèrent de destituer Jacques Benvéniste de ses fonctions et de toute possibilité de continuer ses travaux. Et pour cause…

Les failles

Les failles sont des fissures plus ou moins larges et profondes dans la terre ou la roche. La plupart du temps, ces failles sont invisibles. Avec  le temps, le limon, l’argile et la poussière les ont colmatées ; de la terre végétale s’est déposée par-dessus, et la végétation (ou le bitume) les ont recouvertes.

Ces failles se comportent comme les plaques de condensateurs électriques vis-à-vis des courants qui parcourent la terre : rupture de continuité dans le circuit, matière isolante entre les 2 bords de la faille… Il n’en faut pas plus pour générer un puissant courant électrique, qui va rayonner verticalement sur plusieurs centaines de mètres, affectant tout ce qui se trouve son passage, les habitants d’un immeuble par exemple…

Il n’est pas du tout indiqué de dormir à l’aplomb de telles failles. Comme pour les cours d’eau, la nocivité de ces failles est très variable, et les plus virulentes peuvent aller jusqu’à causer le cancer chez les personnes qui ont la malchance de dormir à leur aplomb. Mais d’expérience, les effets nocifs des failles sont facilement plus violents que ceux des cours d’eaux.

L’observation dans la nature

Quand on sait quoi regarder, la présence de cours d’eaux souterrains ou de failles se détecte parfois sans instrument. Toutefois, les failles provoquant sensiblement les mêmes signes que ceux générés par les cours d’eaux, il est difficile de savoir si l’on a à faire à l’un ou à l’autre sans moyen de mesure.

Voici les signes de ces présences :

– Des arbres qui poussent curieusement penchés, anormalement chétifs, ou qui présentent des tumeurs sur leurs troncs. Quand nous sommes en présence d’un cours d’eau ou d’une faille, nous allons nous déplacer très naturellement, sans même nous en rendre compte, pour nous dégager de la perturbation.

C’est d’ailleurs parfois l’explication de ces bébés que l’on retrouve systématiquement calés tout à fait dans le coin de leur petits lits, et qui ont cherché inconsciemment à se dégager d’une perturbation.

Pour l’arbre, la chose est différente. La graine a germé là, et il n’a pas la possibilité de se déplacer pour échapper à la perturbation.  Alors, il va s’en dégager en poussant penché, en vue de laisser le moins de prise possible à ladite perturbation. Si par malheur l’arbre a poussé en plein d’une telle perturbation, il va pousser lentement, végéter, tomber malade et dépérir à plus ou moins long terme.

C’est ainsi qu’on peut observer des différences de vitalité très visibles dans une haie : les plants qui se trouvent à la verticale du cours d’eau dépérissent et meurent.

– Des buis ou des sureaux (sur eau…) en bonne santé trahissent la présence de cours d’eaux dont  ils apprécient la présence.

– Des lézardes dans les murs se créent à la verticale du passage des cours d’eaux souterrains et des failles. Dans les zones denses en habitations, il est parfois possible de visualiser la trajectoire du cours d’eau rien qu’en suivant les fissures qui se forment sur les murets de clôture des maisons, et parfois sur les murs eux-mêmes.

Neutralisation

Une neutralisation géobiologique supprime les effets nocifs des cours d’eaux et des failles,  et l’on peut ensuite dormir au-dessus sans problème.
Dans une certaine mesure, il es possible  de redonner à l’eau un taux vibratoire élevé (donc d’augmenter la qualité de l’eau) mais il ne faut pas rêver : si l’eau traverse un endroit fortement pollué, il n’y aura rien à faire tant que la source de pollution n’aura pas été enlevée.

Les vibrations

Considérons les vibrations du plutonium… Si ces vibrations peuvent tuer, il est probable qu’à l’autre bout du spectre, certaines puissent être bénéfiques. Et heureusement pour nous, c’est exactement le cas…

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Dans l’Univers, tout vibre !                

La mesure des vibrations                  

Caractéristiques des vibrations         


Dans l’Univers, tout vibre !

Les atomes, la Terre, les lieux, les maisons, les objets… Ces vibrations sont structurelles, intimement et irrémédiablement liées à la matière ; elles sont provoquées par les électrons qui  tournent autour des noyaux des atomes. Pas le choix, nous sommes faits avec, et nous devrons faire avec…

Les vibrations dont se préoccupe la Géobiologie sont invisibles, ténues, et permanentes. Leurs effets sont déterminants sur notre santé, et il est très important de mesurer leur nocivité. Le fait que nous ne les percevions pas (ou peu) participe à la dangerosité des vibrations nocives.

Des effets invisibles : Considérons une hélice d’avion, et démarrons le moteur. L’hélice tourne, et déjà ses contours s’estompent au point que nous avons du mal à en préciser sa forme. Accélérons le moteur, et l’hélice devient presque invisible.  Imaginons de multiplier la vitesse par 10 ou par 100 : nous ne verrions plus du tout l’hélice, mais nous ressentirions malgré tout l’effet du puissant courant d’air créé par elle.

Parfaitement visible ici, l'hélice de cet avion va le devenir de moins en moins au fur et à mesure que sa vitesse va augmenter, jusqu'à devenir quasiment invisible... et très dangereuse.

Il en est de même pour les phénomènes géobiologiques. Leurs fréquences de vibrations sont telles qu’ils échappent à notre vue, alors que nous pouvons en subir des effets très violents.

Des effets ténus, mais permanents : pour se donner une idée de ces effets, il n’est qu’à considérer l’action de l’eau sur la roche. A peine perceptible à l’échelle humaine, l’action de l’eau a en bien des endroits façonné notre planète en d’impressionnants canyons.

Des effets au quotidien : les effets de certaines vibrations transparaissent dans notre vie de tous les jours  sans que nous y prenions vraiment garde : des fourmillements ressentis en certains endroits de la maison, sur un canapé ou dans un lit par exemple, des cercles foncés dans l’herbe de nos pelouses, des arbres penchés ou tordus, des différences de vitalité dans une haie… Tout ceci révèle la présence de vibrations perturbantes.

Ces effets, nocifs pour nos organismes, sont appelés perturbations, et peuvent affecter sévèrement la santé : maux de tête à répétitions, sommeils perturbés, matins où l’on se réveille plus fatigué qu’au couché, maladies plus ou moins graves que la médecine est impuissante à enrayer. Certaines perturbations incroyablement violentes peuvent tout à fait tuer une personne en quelques années.  Voir à ce sujet le livre tout à fait édifiant de Roger de Lafforest : « Ces maisons qui tuent »

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La mesure des vibrations

Depuis des temps immémorables, les sourciers, munis de leurs baguettes, ont capté les vibrations émises par les cours d’eau.

Au début des années 1900, André Bovis, radiesthésiste de son état, chercha à quantifier ces vibrations. Il créa une échelle de mesure (graduée en Unités Bovis, UB pour les intimes ) et la testa sur des fruits.
Son idée était de mettre en corrélation les valeurs obtenues avec l’aspect visuel des fruits : frais, passés, blets, pourris…

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Ce fut une excellente idée, car la corrélation s’avéra bien réelle…  Ce fut sans doute un premier pas vers une démarche scientifique, car les vibrations étaient ainsi devenues quantifiables, et leurs propriétés reconnaissables. Des valeurs tangibles indiquaient à présent que certaines de ces vibrations étaient «bonnes », tandis que d’autres étaient perturbantes.

A cette époque, André Bovis détermina qu’un taux vibratoire équilibré se situait à 6500UB.  Mais il est assez courant que d’un géobiologue à l’autre, on puisse observer des différences dans les mesures. Cette  disparité est due à la perception propre à chaque géobiologue, au système de référence utilisé, à ses propres repères…

Cela n’a pas – dans certaines limites quand même – l’importance que l’on pourrait croire. L’important est que les géobiologues soient d’accord pour dire que tel endroit est perturbant ou non, et qu’ils puissent neutraliser sa nocivité.

Toutefois, une échelle de mesure appelée Biodynamètre supprime cette apparente disparité. Cette échelle ne donne pas de valeur, mais directement l’état vibratoire des lieux et des personnes. et met généralement tout le monde d’accord… Bonne chose !
Pour faire une analogie simple, une échelle Bovis indique votre tension artérielle, tandis que le Biodynamètre vous dit si vous êtes malade ou en bonne santé.

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Les caractéristiques des vibrations

Grosso modo, plus un taux vibratoire est élevé, mieux c’est, mais dans certaines limites !
Un taux vibratoire exagérément élevé peut parfaitement empêcher une personne de dormir en la mettant dans un état de grande excitation.

D’ailleurs chez certains enfants hyperactifs , il ne faut pas chercher ailleurs les causes du problème.

thermometer in the sky, the heat

Inversement, mais vous l’auriez deviné, plus la valeur d’une vibration est basse, et moins bien c’est. Dans un lieu aux basses vibrations, nous ne nous sentons pas bien. Cela peut aller du simple ressenti au mal de tête carabiné, d’une fatigue insurmontable jusqu’au déclenchement de maladies.

En clair, il ne faut pas trop rigoler avec ça. La page consacrée aux perturbations vous donnera un petit florilège de ce que peuvent donner des vibrations trop basses.

Le taux vibratoire est un terme que les géobiologues emploient beaucoup, et qui représente la qualité d’une vibration, d’une énergie. En mesurant des taux vibratoires judicieusement choisis, il est possible de  qualifier les vibrations émises par un lieu, une maison, une personne, un animal, un objet… enfin à peu près tout ce qu’on veut.

Comme pour l’échelle Celsius des températures, l’échelle Bovis ne s’arrête pas à zéro et se prolonge vers le bas. Il n’existe pas de limite connue, ni pour les valeurs supérieures, ni pour les valeurs inférieures.  C’est ainsi que certains lieux très négatifs peuvent engendrer rapidement des maladies graves.

Ainsi, dans un appartement de Bourgoin, le taux vibratoire à l’aplomb de la table du salon était de -700 000UB, ce qui est incroyablement bas. La personne qui habitait là ressentait devant cette table des troubles puissants. A son aplomb,  se croisaient exactement 3 cours d’eau et 1 faille extrêmement nocifs.

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Les instruments de mesure

Un cadran ( il en existe des dizaines), un pendule, une antenne, et vous voilà théoriquement  prêts à faire vos premières  mesures. C’est tout ??  Oui, c’est tout… Et au risque d’en faire frémir certains, je vous assure qu’un pendule est un instrument de grande précision.

Mystische Pendelszene

Si vous êtes naturellement très sensible, il se peut que les résultats soient parfaits dès vos premières mesures ( j’en ai rencontré, ces personnes existent !).  Mais dans la plupart des cas, il vous faudra travailler pour développer cette faculté…  Bon, en même temps c’est valable pour beaucoup de choses, hein… Mettez un violon dans les mains d’une personne qui n’en a jamais joué, et il y peu de chances que vous soyez ébloui par du Mozart dès les premières notes.

Vous lirez souvent que le pendule n’a pas d’importance, et c’est presque vrai. Un pendule peut être un simple boulon accroché à une ficelle, ça ne changera rien au principe. Mais dans le détail, un pendule adapté est quand même drôlement plus précis qu’un boulon ! Un menuisier peut très bien enfoncer un clou avec une clé à molette, mais un marteau est quand même sacrément plus pratique.

Un pendule ne mesure rien tout seul.  Si vous accrochez un pendule à une potence et que vous attendez de voir ce qu’il se passe, vous risquez d’attendre longtemps, j’ai essayé…

Vous lirez souvent que c’est notre corps qui réagit aux vibrations recherchées par des micro-mouvements que  le pendule amplifie. Et là je ne suis pas trop d’accord…
Lorsque mon pendule indique une valeur, et que j’essaie volontairement de le déloger de cette valeur, il résiste et cherche à revenir à ladite valeur. C’est d’ailleurs un moyen de contrôle lorsque l’on n’est pas trop sûr de sa mesure. Si le pendule agissait en fonction de micro-mouvements, il y a belle lurette que j’aurai obtenu  n’importe quoi, et cessé la Géobiologie…

Mon avis, qui n’engage que moi, est que le pendule participe activement à la chaine de mesure que forme l’ensemble Esprit-corps-bras-pendule. Oui, vous avez bien lu « Esprit », et nous en reparlerons.

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La Géobiologie

Les vibrations

La Géobiologie est une science qui se préoccupe des vibrations qui nous perturbent. Ces vibrations sont partout : les atomes émettent des vibrations, la lumière est une vibration, et le crin-crin lancinant du violon du fils du voisin en est une également.

Certaines de ces vibrations ne nous veulent pas que du bien : vibrations émises par les cours d’eaux souterrains, les failles, les murs de nos maisons, et bien d’autres phénomènes dont ceux liés aux téléphones portables, au wifi… Quelques personnes sont devenues si sensibles qu’elles doivent habiter dans des zones dites blanches, loin des villes.

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Géobiologie : une définition              

Des effets très concrets                    

Des traces dans l’Histoire                  

La réapparition du savoir                  


Une définition

Le mot Géobiologie vient de Géo, la terre, et de biologie, la science du vivant. La Géobiologie est la science des vibrations de la terre, et par extension, des lieux, des maisons, des objets… et de leur interaction avec nous. Aussi surprenant que cela puisse paraître au premier abord, les 3 règnes, animal (dont nous faisons partie), végétal et minéral, sont concernés.

La Géobiologie permet donc de détecter les vibrations qui nous affectent, et d’en modifier les effets. Non, il ne s’agit pas de magie, mais bien d’une science trop peu connue qui existe pourtant depuis des temps immémoriaux, et que la Science est en train de découvrir, mais doucement…  Mais juste avant de détailler ce que sont ces vibrations qui nous préoccupent, voyons déjà les effets qu’elles peuvent avoir sur nous…

Des effets très concrets

La première approche de la Géobiologie se fait hélas trop souvent par son côté « obscur ». Voici un petit aperçu de ce qu’il peut se passer lorsqu’une maison ou un lieu ne sont pas géobiologiquement sains :

  • perte de sommeil
  • nuits agitées, cauchemars
  • maux de tête à répétition
  • réveils où l’on se sent plus fatigué qu’au coucher
  • syndrome des jambes impatientes
  • sensations inexplicables de mal-être chez soi pouvant aller jusqu’à l’envie de déménager
  • lieux où l’on ne se sent pas très bien sans que l’on sache vraiment pourquoi
  • atmosphères lourdes et oppressantes
  • sautes d’humeur inexplicables
  • formes d’abattement ou d’hyperactivité
  • dégradations de l’état de santé sans que la médecine puisse trouver d’explication médicale franche
  • entendre des voix dont on ne peut localiser la provenance
  • visions improbables que les gens préfèrent taire
  • schizophrènie…

Lorsqu’elles provoquent ce genre de troubles, les vibrations sont appelées perturbations. Ces perturbations ont de multiples causes, certaines tout à fait tangibles, tandis que d’autres sont tout simplement impalpables. Ce qui n’empêche pas ces perturbations d’interagir avec nous de façons  très désagréables, et parfois très dangereuses.

   

La bonne nouvelle, c’est que la Géobiologie ne se contente pas de constater ces perturbations, mais qu’elle permet également d’y apporter des solutions.

Une femme blonde sereine au milieu de la nature

Un lieu géobiologiquement sain est propice à une bonne santé, il y règne un équilibre et un bien-être propre au repos et à la paix de l’esprit. La végétation s’y développe harmonieusement.

Mon travail consiste donc à déterminer d’où proviennent ces perturbations, à les neutraliser, et à restituer un environnement sain.  Mais avant de vous dire comment, je vous propose de me suivre dans les pages de ce site, où, je l’espère, chaque ligne vous fera apparaître un aspect souvent inconnu et inattendu des choses, et esquissera un pas vers des explications cohérentes que vous êtes en droit d’attendre.

Des traces tout au long de l’Histoire

Si la Géobiologie paraît être une science nouvelle, il n’en est rien… C’est une science qui remonte à la nuit des temps…

Site préhistorique d’Achnabreck, en Ecosse… Des cercles gravés sur des dalles de pierre depuis 5000 ans posent une  énigme aux chercheurs. Que pouvaient bien signifier ces dessins ?

C’est un géobiologue qui remarqua que certains d’entre eux marquaient très précisément l’emplacement de phénomènes nommés cheminées cosmo-telluriques. Ce terme bien complexe désigne en fait un phénomène que chacun d’entre nous a croisé à de multiples reprises : un cercle d’herbe foncée au milieu d’une pelouse…

Rien d’exceptionnel en apparence, sauf que ces cheminées cosmo-telluriques marquent l’emplacement d’énergies qui peuvent altérer sévèrement la nôtre, et qu’il vaut donc mieux ne pas trop stationner dessus.

des cercles gravés dans la roche depuis plus de 5000 ans
Vieux de 5000 ans, les cercles d’Achnabreck montrent que très tôt dans l’Histoire, les hommes connaissaient les phénomènes géobiologiques, et qu’ils leur accordaient suffisamment d’importance pour les graver dans la roche.

En Bretagne, l’emplacement des menhirs et des dolmens ne doit rien au hasard, et toute personne un tant soit peu versée dans la Géobiologie peut le vérifier aisément. Le légendaire savoir des druides n’était pas usurpé.

alignements de menhirs en Bretagne
La Géobiologie montre que les menhirs avaient une excellente raison d’être : ils bonifiaient le lieu. Ne doutons pas que les druides avaient également leurs raisons pour créer de tels alignements !

Plus près de nous, les romains savaient que pour être en bonne santé, il fallait que la nourriture, l’air, l’eau et le sous-sol soient de bonne qualité. Leurs connaissances sur le sujet étaient impressionnantes, comme en témoignent les livres de l’architecte Vitruve. Je ne suis pas très sûr que nous en sachions encore autant aujourd’hui.

A la fin du 12ème siècle, les bâtisseurs d’églises étaient des initiés de très haut niveau. Ces églises étaient des lieux de soins, et pour ceux qui ont cette connaissance, ces monuments l’attestent sans l’ombre d’un doute. L’Ordre des Templiers était du nombre de ces bâtisseurs.

Un moine de l'ordre des templiers contemple un livre

Mais alors, pourquoi la Géobiologie est-elle si peu connue ?
Parce que ce savoir a failli disparaître, et que cela ne date pas d’hier.  En 1307, En 1300, l’Église et le roi Philippe le Bel s’associèrent pour éradiquer les Templiers. Le déclin allait être brutal à plus d’un titre : leur science, ce qu’on appelle aujourd’hui  la Géobiologie, en fit sévèrement les frais.




Et le savoir réapparut…

Comment le savoir presque éteint reprit vie, je n’en ai qu’une petite idée.  Je crois que le germe couvait silencieusement à l’abri des regards, en attendant de pouvoir revenir à la Lumière…

le germe du savoir revient à la lumière, offret par des mains inconnues
Le germe du savoir revint enfin à la Lumière. Sans doute les temps étaient-ils arrivés…


En 1850, une immense vague de spiritisme déferla
sur les États-Unis et l’Europe, qui virent apparaître nombre de médiums très puissants.  L’ampleur de cette vague fut telle qu’elle perdura quasiment un siècle. C’est de là que vint la pratique de « faire tourner les tables », considérée de nos jours comme relevant de la douce psychiatrie… Mais nos grands-parents n’était pas fous, et si l’on prend le temps de s’y arrêter, quelque chose dans leur mode de vie laisserait-il à penser qu’ils pouvaient l’être ?  Non.  Considérons notre mode de vie actuel : nous sommes bien plus fous qu’ils ne le furent jamais.

Le spiritisme créa un appel d’air pour le magnétisme, lequel amorça à son tour le retour de ces savoirs à la lumière dans les années 1960.  Le savoir des sourciers fut alors étudié, élargi à des domaines connexes, et faute de connaître le mot qui était employé avant, on lui donna un nom tout neuf : la Géobiologie.

Depuis quelques années, ce savoir fait une entrée discrète dans le monde de la médecine. Les magnétiseurs,  hypnotiseurs et leveurs de feu commencent à être reconnus pour ce qu’ils sont : les détenteurs d’une connaissance délibérément ignorée pendant des siècles. Ces sciences apportent des solutions encore peu usitées, mais remarquablement efficaces à des maux que, faute de connaître leur nature profonde, la médecine ne peut que constater.

Petite question subsidiaire : Pourquoi la Géobiologie et biens d’autres Sciences sont-elles qualifiées de  « parallèles », alors qu’elles existent depuis la nuit des temps, et que la médecine allopathique n’existe depuis guère plus de 100 ans ???   Je crains que la réponse ne soit désagréable à entendre.